Les drogues à Djibouti

 A Djibouti  avant son indépendance en 1977 comme la population est nomade ET sedentaire ces drogues étaient méconnues par nos ancêtres qui consommaient avec modération le KATH uniquement et une  honte pour les femmes et  filles et que seules les prostituées et filles de bars ou autres broutent et fument en plein 


Ce KATH se vendait à bon marche moins cher ou peu des gens y broutaient bien qu'il était interdit par les colons mais l'alcool est était plus vendu aux colons et aux djiboutiens ou 70% y consomment et le KATH est moins vendu actuellement dans les marchés populaires pour son impropre er de mauvaise qualité 


Après l'indépendance en 1977 après le departdes colons moins d'alcool vendu suite des implications de l l'Islam dans les moeurs qui les interdisent et favorise le KATH ou plus  importateurs comme le SOGIK  PARTICULIER furent créés et trop de dépendances chez les jeunes de 13h00 a 6h00  ou la botte se vend à 600fdj a 10000fdj selon la quantité et la qualité 


Ces 2 sociétés SOGIK  PARTICULIER se battent sur le marché et s'encherissent  sur aupres des differentes classes sociales sur les points de ventes des vendeuses qui y gagnent peu 50fdj la botte vendue 


Sute de l'arrivée des ethiopiens et somaliens avec le peuplement de masse et son integration dans la societe  de 1977 a 1991 et de guerre civile et de misere et famines djbouti a constamment changé de mœurs et  appris des nouvelles choses telle les vins frelatées cannabis etc…


Suite au développement économique et social du pays les boissons alcoolisées  sont très venudues dans les lieux spéciaux tels que SADIEGA ET FRATACCI et COSKAL  qui les vendent a des prix raisonnable comme le vin rouge Vodka et Konenbourg les patis 51 etc… les alcoolos y partagent ensemble et même  les femmes en boient. Seuls 20% en boient par jour dans les bus et taxi par les différentes  classes sociales que plus accident mortels se produisent


Ces 4 établissements SADIEGA ET FRATACCI et COSKAL COUBECHE sont agréés et réputées pour les ventes et importations des vins à Djibouti  ou les forces militaires françaises américaines  italiennes  japonnaises allemandes et espagnoles sont y présentés et qui les achètent et qui les vendent frauduleusement aux jeunes alcoolos parfois les bouteilles périmées qu entraînent leurs décès 


Mais ceux qui n'ont pas les moyens achètent les vins frelatée  à base de mais de soja dans le marché Djiboutien ou elle s'est répandue. Ils sont importes clandestinement par des éthiopiens en collaboration avec des djiboutiens et fraudulent d'Ethiopie en direction la capitale  et des banlieues et que la majorité  de la jeunesse y tombe dans cette piège. 


vins frelatée
Elle en boit trop avec dépendance extrême et que une bonne partie est pourchassée par les forces de l'ordre et agents de contrebandiers et douaniers 


suite des ouvertures de frontières avec les pays de COMESA en 2000  le cannabis est devenu une monnaie courante ou la plupart des jeunes ou adultes y tombent et y consomment avec discrétion dans les coins de rues par  peur des outrages par leurs amis ou par les forces de l'ordre qui y chassent dont les conséquences humaines sont graves y ttraînent la foiie suicide etc…

bière éthiopienne contrebande


Les contrebandiers les acheminent  clandestinement et frauduleusement d'Ethiopie en direction la capitale  et des banlieues par véhicules  avec corruption et les vendent au dealers qui écoulent dans les marchés locaux  40% et y gagnent à 70% par mois  


Sa vente cannabis qui était autrefois tres cherre se vend comme la cigarette entre jeunes garçons  filles qui sont influencées les plus et fument dans les coins sous les impuissance des forces l'ordre qui luttent sans cesse et déférent les dealers au Parquet 

 

Le canabis est fortement sollicité par la jeunesse et des drogués dont le prix est cher a 200fdj pour "une taffe"(joint) et qui finissent leurs santés mentales dans le centre des asiles, maisons ou dans la rue pour problèmes  psychiques et mentaux  mais certains vendeurs et transports et importateurs restent insaisissables par corruption ou tribus ou  clan 

bières contrebandes


Jusqu'à présent Djibouti est à l'abri des produits stupéfiantes dangeureux et tres couteux comme le KRAC COCAÏNE HÉROÏNE et ESTACI MORPHINE OPUIM etc… dont les jeunes les savent et trouvent très dangereuse et peur pour leurs santes et difficile  d'acheminer aussi en ville 


Aucune association n'est dédiée pour ça afin les éradiquer et aucun centre de cure aussi des intoxications et pas de sensibilisation de la societe civile et de l'État 


Neanmoins ill y a plus de 30% morts suite des consommateurs de vins fretales qui y dominent les secteurs pour son achat à 50fdj le gorge par les jeunes 


canabis

produits stupéfiantes dangeureux

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