A Djibouti, depuis de son indépendance en 1977 jusqu' à ce jour , avec l'initiation de son Excellence PRESIDENT ISMAEL OMAR GUELLEH pour le développement économique et social, les quartiers qui étaient autrefois des bidonvilles se changent en gratte ciel avec des immeubles qui sortent de terre aussi bien que le CENTRE VILLE dans les quartiers populaires d'où les appuis crédits bancaires qui donnent à leurs clients
Certains construisent selon les pas et salaires en faisant des prêts et emprunts auprès des agences bancaires qui hypothèquent parfois ceux qui n'arrivent pas rembourser mais d'autres habituent dans ce bidonville dans l'attente de trouver espoir le reconstruire bien que leurs maisons s'enfoncent dans la terre et que des grattes ciels poussent autour d'eux
Pour avoir une maison ou un logement aussi bien dans la capitale que Balbala est très dure lorsque les moyens financiers manquent . Pour se faire le faible poprietaire vend sa parcelle bâtie en bidonville à cause de destruction par la pluie et les mauvais temps avec des prix dépassant des millions Franc Djibouti selon la superficie de parcelle vendue et l'environnent du lieu
De nouveaux quartiers résidentiels émergent dans la capitale tels que la cité de Haramousse autrefois déserté la cite de Dawale, Hodane 1 et hodane 2 , cite Chebelley et Nassib, GARGARE et les différentes cités de Gabode 2 3 4 5 et 6 avec des duplexs de haute standing internationale et la cite Lootah et Hamadani dont les prix de locations qui haussent chaque jour sans cesse. Ils sont souvent loués par des américains et occidentaux dont la sécurité intérieure et extérieure sont assurées aussi bien que par des civils et des policiers aux différentes côtés gabode et Haramousse et héron
Puis paraissent des nouveaux constructeurs immobiliers tels que la société de construction telle que Hamadani et Lootah ,Djib--Fu, EDC , DJAMA AOULED etc.. qui bâtissent des belles maisons Standard Européen et américains avec des architectes parfois Djiboutiens ou étrangers
Chaque mètre carré est pris, achète a 800m2 4dans le centre ville et les differents quartiers et a 1500 m2 a balbala auprès de service de Domaine et ministère de l'Habitat et de Logements apres avoir eu un titre foncier auprès de l'Hôtel des Impots et construit aussitôt sous la surveillance de préfecture de Djiboutî.
Des bancaires comme CAC BANC SALAM BANQ EAST AFRICA BANQ SABA BANQ BOA BANQ et BDCD ICB BANK EXIM BANK et BCI MR ont fait leurs places et occupent au développement économique et social dans la capitale et les 4 districts et ses localités. Elles effectuent des transactions financières et se sont décentralisées depuis l'an 2020 dont bons nombres des créanciers se sont inscrits et des fonctionnaires et retraités y touchent leurs salaires mensuels sans venir dans la métropole.
Pour ce faire investir ces banques encouragent les créanciers avec des prêts de débits compétitives et des intérêts faibles selon les valeurs Ils y construisent à des prix tres chers auprès des tierces personnes voulant bâtir des immobiliers simples ou complexes aux standing international dans les cités haramousse et héron plateau de marabout etc... mais ceux qui n'ont pas les moyens bâtissent leurs salaires ou emprunts avec des maçons et menuisiers du coins après achat des matériaux auprès des quincailleries qui jaillissent trop dans le marché et que la compétitivité est rude entre eux
Le Ministère de l'Habitat et de Logement en collaboration avec le ministre des finances qui ont lancé "en 2020'2030 un programme "Zéro Bidonville "aussi que dans la capitale banlieue et dans les districts suite de la demande du Chef de l'État Pour le concrétiser la cimenterie d'Ali Sabieh en produise plusieurs tonnes de ciments chaque jours en compétitivité avec la société NAEL CIMENTS qui exporte des tonnes de ciments aussi de Doudaï et qui vend dans le marché au même prix que CIMENTERIE à 1300 FDJ le sacs de 50kg selon le marché et surenchère auprès des commerçants et importateurs
Dans ces immobiliers les héritages entre familles composées et polygames les divisent et les vendent au prix fort aux acheteurs leurs immobiliers laissés par les ancêtres décédés après des années de parcours juridique. Les héritiers deviennent parfois sans foyer ou réussissent à sauver une partie de bien immobilier après des poursuites judiciaires des grandes instances ou des polygames faisons races aux milieux des héritiers
Même à Balbala, divise en plusieurs tranches autrefois de 1980 a 1990 meprisé par les citadins de Djibouti ville pour sa colline rocheuse et difficile d'acces de vehicule et a pied et sa chaleur en été manque d'eau potable, est devenu un joyau pour tout le monde où les prix de ventes ou achats des immobiliers ou terrain vague grimpent dans les millions de francs au mètres carrés.
Ce plan établi par le Président et son Gouvernement en place sert à lutter contre les ravages d'incendies pendant les périodes de l'été dans les quartiers défavorisés et très peuplées au centime carrés qui en subissent les conséquences.
Pour les y peupler le Gouvernement djiboutien a créé des quartiers nouveaux à la cité Nassib et Gargare et fondation IOG au Pk 13 etc... dans des lieux deserts pour aux profits des victimes et de payer quelques milliers francs (loyet et vente) parallèlement et des miséreux et pauvres jouissant à faible revenu
Les djiboutiens aiment habiter dans cette colline de Balbala à cause des pluies qui inondent les maisons. Il surplombe la capitale en dessous de la mer et qui donne un aspect féodal et rudimentaire malgré les contraintes tribales et claniques et économiques et sociales qui y persistent fort longtemps.
Pour ceux qui ont la chance construisent des vastes maisons avec des terrasses en dur mais d'autres y habitent dans des bidonvilles très rétrécies en dessous de la vie actuelle dans des endroits éloignés où ils vivent avec des moyens financiers faibles tels que des beignets biscuits bonbons etc...auprès de leurs maisons Plusieurs combats entre les voisins de maison se sont produits dont l'un accuse avoir occupé illégalement une partie sa parcelle et qui se traduisent devant les tribunaux et préfectures respectives.
Cette banlieue a plusieurs tranches: cheik Moussa cheik osman Balbala ancien Hayabley Warabaley Mousquetaire barwako 1 et 2 Layabley, quartier VietNam NASSIB handicape et Sauvage Balbala Q5 Balbala Wahli bada, Agadalis Bahache Dogleh, Pompage etc...
Elle est très habituée à 60% de la population de toute classe sociale et race dont sa superficie évolué à chaque fois avec de surface réduite dont certaines sont vastes. Elles y sont habitées aussi même les lits d' oueds Ambouli qui font des ravages mortels et ou matériels lors des saisons de pluies de novembre à février malgré les préventions de l'État et des déclassement des maisons.
Mais ils y persistent dans des conditions qui ne peuvent pas changer beaucoup d'inégalités sociales et économiques sont déplorés par la société civile contre l'état qui fait de son mieux pour éradiquer.
De plus les flux massifs de l'exode rural ,de famine, de guerre et de sécheresses pendant l'été sont le facteur de cet ampleur la création de ces bidonvilles dont parfois ces gens ont la chance ou opportunité qui lui sourit en construisant des vastes maisons dans les banlieues ou communes et certains y vivent dans la précarité extrême
Les bidonvilles s'entassent les uns sur les autres où certain font de fois de terrasse pour passer l'été qui est chaud et lors des coupures d'électricité par l'Etat. Et d'autres dorment ou se réveillent sans électricité et eau par faute de moyen avec des surfaces réduites et créent des points de ventes de marchandises pour subvenir leurs besoins quotidiens ( fruits légumes samboussa beignets et khat etc...)
Mais des uns deviennent hyper commerçants en ouvrant des grandes et petites surfaces alimentaires auprès de gens pauvres qui dépensent moins et qui subissent des malnutrition et constipation néanmoins ,ils recevaient quelques aides familiales et font parfois la débrouille pour y vivre ou les enfants atteignent des cadres supérieurs de l'état et qui prennent la relève
Ceux qui possèdent des loyers de plus les louent à des locataires bons ( jeunes mariés ou employés etc...) à des prix chers 25000fd la chambres et comprenant les frais de l'Edd et Onead qui sont à leurs charges tantôt sont bien accueillis tantôt les mauvais ( les chômeurs et employés informels etc...) finissent par expulsion juridique après des mois poursuites judiciaires devant des tribunaux par des avocats et huissiers véreux en cas de non expulsion Les locataires sont des personnes d'origines étrangers (somaliens éthiopiens ou yéménites etc...) qui préfèrent les agglomérations en bidonvilles en colocation avec d'autres individus qui divisent les chambres en plusieurs parties et maison bâtie en dure d'ou les prix sont élevés à 25000fd la chambres compris les frais de l'Edd et Onead qui sont à leurs charges. Ils se déplacent de loyer en loyer en recherchant les prix faibles de 15000 à 20000 FDJ.
Mais difficile d'en trouver ces loyers dont la surenchère et vie économique deviennent de plus en plus difficiles Dans la ville il y a plus des maisons vides et mal entretenues où des loyers occupés par des locataires qui les détruisent au fil de temps au su du propriétaire qui cherche des moyens de subventions pour reconstructions et de nourrir pour sa famille et qui délaissent de tout entretien .
Maïs d'autres maisons ou loyers recherchent des locataires bien aisés à Haramousse ou Héron avec des contrats de bains qui en paient tous les frais en charge tels que EDD et ONEAD et les frais de locations qui sont chers et qui sont souvent par les occidentaux ou américains etc... pour des séjours déterminés selon leur travail avec des contrats de bail auprès des agents immobiliers tels que Kamaj etc... qui soutirent des intérêts et profits
Dans le quartier ARHIBA ET EINGUELLA soit 1000 logements dans le secteur des Salines Ouest qui est le berceau des gisement de sels depuis 1956 autrefois furent construites et habités en 1956 pour les dockers en 3 pièces cuisine et toilette et petit vérandas et travailleurs du Port de Djibouti dont la majorité était des afars et quelques Issas et somaliens pour les comptes de colons français qui exploitaient leurs main d'oeuvre pour transfert les matières premières provenant d'Ethiopie en voie ferroviaire en France.
Suite du développement économique et social ces 2 cites ci dessus furent louess à des Ethiopiens pour des prix de 25000 a 40000fdj et qui sont en etat de décaissement par manque de rénovation et qui est un symbole de la colonisation française. La plupart des propriétaires y vivent dans des autres cités tels que hodane haramousse PK 12 HERON etc..
La cité ARHIBA dont la majorité de la population 90% est de souche afar reste homogène depuis longtemps et a pour mixité des Ethiopiens afars mais la cité EINGUELLA est très diverfisee par des gens de classes sociales et tribales afars arabes et issas somaliens qui y vivent sans discrimination et peu de maisons sont louées et qui varient de 25000 a 40000 FDJ.
Cette cité est en constante évolution où les propriétaires effectuent des extensions après d'un titre foncier et avis du Ministère de logement et habitat et préfecture en collaboration avec la société immobilière et aménagement Djibouti (SIAD) qui gère toutes les côtes de Djibouti et des districts
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