La métamorphose urbaine a Djibouti

   Avant la colonisation française en 1886  Djibouti habitait  des arabes afars somaliens dans cette ville avec leurs traditions  et cultures différentes et qui vivaient le nomadisme  et élevages chez afars et issas et somaliens dans des differents clans et tribus, les arabes au  commerce avec le Yémen, ayant comme religion Islam

place Harbi


  Là fut implantée, créée la première  mosquée  Hamoudi en 1900 par lé Cheikh Hamoudi à la place Harbi autrement appelé" place ARTHUR RAIMBOW jusqu'ils fussent colonisés et reprimes par des francais qui ont instauré leurs institutions et leurs moeurs européennes contraire à leurs traditions. Sa population  se change au fur et à mesure de son évolution économique et sociale et existe un mélange de tribus ou races  lors de mariage et que le mixité se répand dans les différentes couches sociales. 

mosquée  Hamoudi

  L'entraide sociale et familiale coexiste ensemble dans un contexte pacifique et aimable Avant l'indépendance de 1977  seuls les somaliens et arabes et afars y vivaient paisiblement avec les colons français et peu des Issas etaient présents au sol où ils étaient réprimés pour indépendance contre les colons français ou les AFARS  comme Président du Conseil " territoire des français des afars et des issas (TFAI) "était Ali Aref Bourhan. Mais de 1977 à 1999  les plus dominants sont les Issas et Afars qui occupent les hauts postes administratifs  clés de l'etat suivis des somaliens  (Gadabourci Issak Darrod   etc...) et arabes de souches Djiboutiens qui sont devenus des minorités   

 Leurs mélanges entre ethnies fascinent beaucoup dans le mariage et facilitent l'accès à la nationalité et naturalisation pour d'autres et dissuadent la ségrégation et  rejet de l'autre bien que le clanisme  et tribalisme y dominent fortement et indirectement 


  Ces quartiers PLATEAU SERPENT MARABOUT ET  héron  furent construits après 1977 en  ayant des aspects particuliers avec sa population spécifique où une cohabitation entre des différentes cultures et traditions  Afar Arabe et Issas qui se sont enrichis rapidement en construisant des duplex ou villas hauts de gammes et immeubles où les loyers sont chers  et peu rentables au profits où la sécurité des forces de l'Ordre est au maximum comme jour et nuit. peu de délinquance et vandalisme sont déplorés À Djibouti ville  

PLATEAU SERPENT MARABOUT

  les secteurs PLATEAU SERPENT MARABOUT et héron ayant des aspects  particuliers avec sa population spécifique où une cohabitation entre des différentes cultures et traditions y vit ensemble dans la richesse et harmonie et que les expatriés européens  aussi. 


  Ces secteurs PLATEAU SERPENT MARABOUT et héron sont très sollicités par les aristocrates et commerçants et bourgeois à cause des plages  Héron et Marabout qui les entourent et qui rejettent  des airs frais et méditerranéens pendant l'été où la chaleur est 50○C à l'ombre


 Les vieux immeubles qui perdent leurs identités culturelles et locaux sont rénovés en gratte ciels  et des villas de hauts standards internationaux  dont des ministres ou députés y habitent fort longtemps On y trouve des locaux assurances boutiques vestimentaires  des salons de coiffures d' hommes et dames des hôtels restaurants hauts de gammes  bars  club de soirées et gym  pharmacies  cabinets de médecins d'avocats  notaires et huissiers etc... dont les prix de loyers sont cher 


  Dans la capitale y vivent  ensemble les 6 communautés (Afar Arabe et Issa soudanais Ethiopiens somaliens ) quelques autres tribus (Gadabourci Issak Darrod etc...) sans discrimination  et séparation habitants dans différents secteurs de la villes où des communautés sont nombreuses par rapport à d'autres


    Il s'agit de : 7 quartiers (1 2 3 4 5 6, 6 bis et 7)  et quartier 7 bis ou quartier 8 (alias " Quartiller") , Ambouli et des cites ( Einguella I et II ̀, les cites comme Arhiba, Salines Ouest  Salines Est  Riyad Poudrière Maka Moukarama Saoudite   Gachamaleh , la cite de police  alias" Zeila "cite de Q"7 Sud' Aviation Aquitaine Haramousse et Stade  Wadajir (1 et 2)  la cite Progrès les cités Gabode (1 2 3 4 5 et 6) et cite Dawaleh Hodan 1 et 2 Luxembourg , 55 logement de balbala haramouse hamadani ,Al Gamil  Saoudite Salines Est et Ouest Oumou Salam, cite Nassib, GARGARE  CHEBELLEY ROUMIS II STADE 


Dans le centre ville et commercial où les  commerçants ( banque hotels boutique de mode etc ...) s'y trouvent  était un centre privilégié et habitant la plupart de juifs se sauvant de l'holocauste de la Seconde Guerre mondiale qui y ont contruits des  immeubles archecturaux impressionnants  tels que immeble Ibrahim Abdi Kahin etc...  et d'autres locaux inconnus et inoccupés par les djiboutiens


  Dans le centre ville et commercial  où les  commerçants ( banque hotels boutique de mode etc ...) s'y trouvent, était un centre privilégié et habitant la plupart de juifs se sauvant de l'holocauste de la Seconde Guerre mondiale qui y ont contruits des  immeubles archecturaux impressionnants  tels que immeble Ibrahim Abdi Kahin etc...  et d'autres locaux  inconnus inoccupés par les djiboutiens  On y trouve des magasins électroniques  vestimentaires, des restaurants  vente de khats de toute catégorie et de Moukbassa et boutiques cosmétiques etc…


  Ces juifs ont quitte précipitamment a Djibouti après son indépendance en 1977' ayant peur d'être marginalisé et reprimendés mais certains sont y restes en changeant d' identite comme français et y vivent dans l'anonymat et y font des affaires commerciales tels que bars etc ...


  Leurs  locaux sont envahis et occupés par des djiboutiens, arabes, somaliens et afars à la gueŕre des occupations des parcelles  sans scrupule mais des hindoues et arabes yéménites y  faisaient des commerces dans l'harmonie et sympathie . Il est convoité par plusieurs commerçants étrangers qui investissent dont les prix flambent toujours en fonction des lieux appropriés . 


 Les vieux immeubles qui perdent leurs identités culturelles et locaux sont rénovés en gratte ciels On y trouve des locaux assurances boutiques vestimentaires  des salons de coiffures d' hommes et dames des hôtels restaurants hauts de gammes bars  club de soirées et gym  pharmacies  cabinets de médecins d'avocats  notaires et huissiers etc... dont les prix de loyers sont chers. 


 C' est la place qui attire le plus de touristes et étrangers qui découvrent les multiples  façades de commerces et savoir faire  où la sécurité des forces de l'ordre est au maximum jour et nuit. peu de délinquance et vandalisme sont déplorés 


   Au quartier 1 qui est un quartier antique créé dans le 1900 après les installations des premiers  colons français  venu de la région d'Obock en 1889 et après le centre ville et commercial . 


  Par la suite elle est habitée par ces 3 communautés sans distinction raciale ou tribale et qui vit dans l'harmonie  et paix avec des maisons faites bois et tôle depuis 1900. Cependant ce quartier est en plein évolution économique et sociale à cause du commerce de plein essor et ces habitations se transforment en dur avec des constructions  en béton et en fer et que la parcelle se vend  à  des prix très chers  car elle est très proche du centre ville. Il est créé aussi planifié en parcelle et maison par les colons français pour personnes ayant la nationalité française d'Outre Mer 


  Sa population  se change au fur et à mesure de son évolution économique et sociale. Il est bon de savoir qu'un somalien parle  à la fois les langues afars et arabes bien que la langue française est officielle et vice versa. Il existe un mélange  de tribus ou de races  lors de mariage et que la mixité se répand dans les différentes  couches sociales.  L'entraide  sociale et familiale coexiste ensemble dans un conteste pacifique et aimable 


 Dans le quartier 2, un quartier antique aussi  est créé aussi planifié en parcelle et maison en tôle et bois par les colons français  pour personnes ayant la nationalité française d'Outre Mer tels que  avant l'indépendance de Djibouti  qui ressemble  le quartier 1, et y vivent les 3 communautés citées en les communautés éthiopiennes 20%  qui se sont implantées rapidement et massivement dans les différents quartiers de la ville dans la simplicité de la vie où tout le monde y gagne quotidiennement leurs avoirs les plus répandus sont les 60% arabes de souches yéménites   


   Ce quartier possède les mêmes aspects culturels et sociaux sur le quartier 1 dans son commerce et des habitations dont les prix de ventes  flambent sur la superficie  du mètre carré dont les acquéreurs sont expatriés yéménites commerçants et somaliens ou issas ayant obtenus la naturalisation djiboutienne, qui ont des sommes d'argent énormes, et y construisent en gratte ciels la Maison autrefois en planche et en zinc  avec des points de ventes au res chaussés  mais les expatriés éthiopiens y investissent leurs gains dans leurs natales le peu travail qu'il trouve informellement en faisant des économies et de même pour les autres quartiers. Particulièrement les 2 communautés arabes et éthiopiens  sont omniprésents dans ces 2 quartiers  



  Au quartier 3, seuls habitent en majorité des 60% somaliens d'origine de Hargeisa et Bourro etc... ayant obtenus la naturalisation djiboutienne, avec difficulté et de  naissance Peu des issas et afars qui  y vivent font aussi des petits commerces informels et y construisent en gratte ciels la Maison autrefois en planche et en zinc  avec des points de ventes au rez chaussés et investissent  beaucoup pour des résidences secondaires  leurs natales et construisent peu à Djibouti. Ces 4 communautés arabes Issas et soudanais  et Ethiopiens sont peu nombreux   


  Au quartier 4 plusieurs communautés  telles que somaliens ethiopiens  arabes afars et Issas et soudanais y vivent  harmonieusement et paisiblement sans distinction raciales et tribales ou ethniques ou chaque communauté  cherche son bien être et identité culturelle dans sa vie actives bien que des préjugés racistes existent parfois  de nationalisme et soudanais patriotiques chez les Issas qui sont sous dominés les autres ethnies telle que Éthiopiens et somaliens ayant obtenus la naturalisation djiboutienne, dans la difficulté et qui ont des sommes d'argent énormes, et y construisent en gratte ciels leur Maison autrefois en planche et en zinc  avec des points de ventes au res chaussés 


   Ces 6 communautés parlent leurs  6 langues à la fois bien que la langue française est officielle mais la langue Somalie est la plus parlée et ils y font aussi des petits commerces informels où souvent les somaliens et arabes et soudanais et Ethiopiens sont privés de l'administration  publique dans ce quartier qui est un symbole de l'unité et de paix  nationale djiboutienne où les inégalités sont remarqués. 


  Ces 4 communautés somaliennes et arabes et soudanais  et Ethiopiens ont sont en  voie de disparition dans ce quartier en laissant ou cédant leurs biens immobiliers sans ressources financières pour y construire aux Issas qui les exploitent et y dominent  au fur et à mesure indirectement. Ce quartier est divisé en 13 tranches de l'Avenue 13 juqu'a l'avenue 26 


  Au quartier 5 la plupart qui  y habitent sont les 70% somaliens venant de Borama et des villages voisins ayant obtenus la naturalisation djiboutienne, avec difficulté et de  naissance aussi. On y trouve aussi peu des Issas Afars et Ethiopiens et soudanais et Issak et Darowd qui sont peu recensés au  nombre ils construisent en gratte ciels leur Maison autrefois en planche et en zinc  avec des points de ventes au rez chaussés. 


  Sur l'Avenue 26 c'est le lieu où il y a plus de vendeurs de the de toutes sortes  et gargotes comme le jour et la nuit et partent les véhicules en allant vers les différentes localités de la Somalie  Hargeisa Borama  Bourto etc...  Ils y vivent en paix  et Unité nationale avec les autres communautés où les inégalités sont remarquées et que les problèmes claniques ou tribaux y subsistent . Ces somaliens investissent beaucoup pour des résidences secondaires  leurs natales et construisent peu à Djibouti  


  Au quartier VI, y vivent les différents clans ou tribus des Issas 80% des souches claniques différentes dans la paix et tranquillité eu unité nationale et qui occupent des places importantes dans le Gouvernement et tes institutions républicaines et des affaires des commerces et transitaires ou ils y sont favorisés fortement 


  Ils investissent aux développements  du pays et construisent des gratte ciels leur Maison autrefois en planche et en zinc et peu des somaliens afars et  arabes habitent dans la discrétion. parfois  les natifs de quartier 6 ,qui se délocalisent en cite ou Balbala, louent à des étrangers Éthiopiens avec des sommés de 25000 à 450000 FDJ les chambres à 3 pièces et véranda  


Dans le quartier ARHIBA ET EINGUELLA , soit 1000 logements  en dur dans le secteur dex salines Ouest et qui est le  berceau des gisement de sels autrefois, furent construites et habités  en 1956 pour les dockers  en 3 pièces cuisine et toilette et petit vérandas et travailleurs du Port de Djibouti qui avait une distance de 200m 


  La majorité était des Afars et quelques Issas et somaliens pour les comptes de colons français qui exploraient leurs main d'œuvre pour transférer les matières premières provenant d'Ethiopie en voie ferroviaire en France. 

  

  Suite du développement  économique  et social ces 2 cites ci dessus furent loues à des Ethiopiens pour des prix de 25000 a 40000fdj et qui sont en etat de décaissement par manque de rénovation et qui est un symbole de la colonisation française. La plupart des  propriétaires y vivent dans des autres cités tels que hodane haramousse PK 12  HERON etc... 


cité ARHIBA
  La cité ARHIBA dont la majorité de la population  90%  est de souche afar reste homogène depuis longtemps et a pour mixité des Ethiopiens afars mais la cité EINGUELLA est très diverfisee par des gens  de classes sociales et tribales  afars arabes et issas somaliens  qui y vivent sans discrimination et peu de maisons sont louées et qui varient de 25000 a 40000 FDJ. 


  Cette cité est en constante évolution où les  propriétaires effectuent des extensions  après  d'un titre foncier et avis du Ministère de logement et habitat et Préfecture en collaboration  avec la société immobilière et aménagement Djibouti  (SIAD)  qui gère toutes les côtes de Djibouti  et des districts 


   Même à Balbala, divise en plusieurs tranches autrefois de 1980 a 1990 meprisé par les citadins de Djibouti ville pour sa colline rocheuse et difficile d'acces de vehicule et a pied et sa chaleur en été manque d'eau potable, est devenu un joyau. 


Balbala
  Cette banlieue a plusieurs tranches : cheik Moussa cheik osman Balbala ancien Hayabley Warabaley Mousquetaire barwako 1 et 2  Layabley, quartier VietNam handicape et Sauvage Balbala Q5  Balbala Wahli bada, Agadalis  Bahache etc…


Mais les djiboutiens aiment habiter dans cette colline  de Balbala  à cause des pluies qui inondent les maisons. Il  surplombe la capitale en dessous de la  mer et qui donne un aspect  féodal et  rudimentaire malgré les contraintes tribales et claniques et économiques et sociales  qui y persistent fort longtemps. 


   Pour ceux qui ont la chance construisent des vastes maisons avec des terrasses en dur mais d'autres y habitent dans des bidonvilles très rétrécies en dessous de  la vie actuelle dans des endroits éloignés où ils vivent avec des moyens  financiers faibles tels que des beignets biscuits bonbons etc...auprès de leurs maisons 


 Plusieurs combats entre les voisins de maison se sont produits dont l'un accuse avoir occupé illégalement une partie sa parcelle et qui se traduisent devant les tribunaux et préfectures respectives. 


Elle est très habituée à 60% de la population de toute classe sociale et race dont sa superficie évolue à chaque fois avec de surface réduite dont certaines sont vastes. Elles y sont habitées aussi même les lits d' oueds Ambouli qui font des ravages mortels et ou matériels  lors des saisons de pluies  de novembre à février malgré les préventions  de l'État et des décassement des maisons. 


  Mais ils y persistent dans  des conditions  qui ne peuvent pas changer beaucoup d'inégalités  sociales et économiques  sont déplorés par la société civile contre l'état qui fait de son mieux pour éradiquer.


 De plus les flux massifs de l'exode rural ,de famine, de guerre et de sécheresses pendant l'été sont le facteur de cet ampleur la création de ces bidonvilles dont parfois ces  gens ont la chance ou opportunité qui lui sourit en construisant  des vastes maisons dans les banlieues ou communes et certains y vivent dans la précarité  extrême Les bidonvilles s'entassent les uns sur les autres où certain font de fois de terrasse pour passer l'été qui est chaud et lors des coupures d'électricité par l'Etat. 


   Et d'autres dorment ou se réveillent sans électricité et eau par faute de moyen  avec des surfaces réduites et créent des  points de ventes de marchandises pour subvenir à leurs besoins quotidiens ( fruits légumes sambiussa beignets et khat etc...)


 mais des uns deviennent hyper commerçants  en ouvrant des grandes et petites surfaces  alimentaires auprès de gens  pauvres qui dépensent moins et qui subissent des malnutrition et constipation néanmoins  ils recevaient quelques aides familiales et font parfois la débrouille pour y vivre ou les enfants atteignent des cadres supérieurs  de l'état et qui prennent la relève


   On y trouve des magasins électroniques  vestimentaires, des restaurants  vente de khats de toute categorie et de Moukbasa et boutiques cosmétiques etc…


   Suite de projet des lois adoptées par le PRÉSIDENT DE RÉPUBLIQUE depuis 1999 ces s côtés suivantes comme Salines Ouest  Salines Est  Riyad Poudrière Maka Moukarama Saoudite   Gachamaleh , la cite de police  alias" Zeila "cite de Q"7 Sud' Aviation Aquitaine Haramousse et Stade  Wadajir (1 et 2)  la cite Progrès les cités Gabode (1 2 3 4 5 et 6) et cite Dawaleh Hodan 1 et 2 Luxembourg , 55 logement de balbala haramouse hamadani ,Al Gamil  Saoudite Salines Est et Ouest Oumou Salam, cite Nassib, GARGARE  CHEBELLEY ROUMIS II STADE etc…se sont multipliées dont construites 

la cite Oumou Salam


la cite GARGARE  






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