Suite de Côte Française des Somalies et des Afars et des Issas (CFSAI) de 1889 a 1956 après décision de la métropole la colonie a changé de nom et devient "Territoire Français des Afars et des Issas" (TFAI) en 1956 à 1977 avec le gouvernement de ALI AREF BOURHAN, présidé par un colon français et avec la chambre des députés (Assemblée Nationale) de l'époque comme député français HASSAN GOULED APTIDON AHMED DINI et MAHAMOUD HARBI etc...
ALI AREF BOURHAN, |
HASSAN GOULED APTIDON et AHMED DINI |
Leur domination se fait ressentir auprès des indigènes djiboutiens nomades ou sédentaires qui les refusaient dans leurs vies quotidiennes et occidentales et que certains étaient des pro-colons. On les imposait des règles non conformes et occidentales et ceux qui ont pousse après la décolonisation des pays africains et asiatiques en 1960,
GENERAL CHARLES DE GAULLE |
Après la décolonisation des pays africains colonises par la France et asiatiques en 1960, l'arrivee du president francais GENERAL CHARLES DE GAULLE de 1967 à 1969 a Djibout où il a declare que Djibouti restera à jamais "territoire français" des manifestations de grandes ampleurs se produisent dans la ville ou certains ont ete fuisilles ou militrailles par les soldtas et légionnaires français et la garde territoriale ( police locale atrachee aux colons compose des djiboutiens ) et que plusieurs sont morts ou blessés et quelques soldats sont blessés aussi
Puis survient l'arrivée du président Georges Pompidou a Djibouti en 1970 où il a déclaré que Djibouti restera toujours attaché à la France des manifestations publics de grandes ampleurs se produisent dans la ville contre cette décision et qu'ils souhaitaient un référendum soit appliqué mais le "NON" a l'indépendance a remporté en 1971
la manifestation anti-francaise |
De 1960 a 1977 des vies d'activistes politiques, militants telles que MAHAMOUD HARBI ADEN ROBLEH AWALEH OMAR AHONE ANDOLEH etc… ont été mutilées, torturées, tuées déportées ou disparues à jamais durant ce combat après trahison par leurs confrères pro-colons et rafles collectives dans les quartiers sensibles et opposants dont certains survivants se souviennent et n'en parlent peu sans écrit.
barrages routiers |
Quand ces colons interpellent une personne suspecte, (opposants militants partisans et rebelles etc… ) procédaient des interragtoires et les executaient sommairement sans jugement dans des lieux tenus secrets jusqu'à ce jour et faisaient disparaître le corps ou creusaient dans des fosses communes pour inhumation ou parfois exposaient au public le corps dans vie mutilé et torture sans respecter les principes de droits de l'homme de l'ONU en 1945
opposants |
Cette garde territoriale (police) en particulier des pro-colons djiboutiens financée par le Gouvernement français avait pour rôle d'assister aux contrôles des barrages routiers et fouiller les personnes et véhicules et des patrouilles en véhicules et procéder à des interpellations et interrogatoires pour personne suspecte avec les colons et espionner et dénoncer le rebelle et assaillants
Mais après l'indépendance cette garde fut intégrée dans la police locale et gendarmerie nationale et certains ont été assassinés ou tués ou et d'autres sont mourus de mort atroce ou normale peu après et bien loin de leurs intégrations
Une unité de appelle "GCF ou GNA (groupement militaires des côtés Francaises melanges des pro-colons djiboutiens et des légionnaires français ) surveillait les intrus (rebelles, les expulsés sans papiers somaliens et issas etc..) dans le territoire colonial près des frontières avec la Somalie et l'Ethiopie et le Yémen et les refoulent sans conditions après renseignements et information et parfois les tuaient dans sommation. Après l'indépendance de Djibouti cette unité fut intégrée dans les forces armées djiboutiens. Seuls y passaient les frontières les nomades à la recherche des pâturages avec leurs troupeaux
l'UNFD |
La jeunesse djiboutienne |
La communauté yéménite djiboutienne presidé par ALI COUBECHE vivant dans cette colonie occupée faisait de même pour la liberté et de l'indépendance de Djibouti et se combattait contre les oppresseurs avec les indépendantistes bien qu'ils soient peu nombreux.ils subissent les sorts réservés aux rebelles par les colons
ALI COUBECHE |
Lors des rafles dans les quartiers populaires par les colons français, des indigènes se font déporter sans papiers français vers la Somalie ou Éthiopie a bord des camions militaires suirveiles par des legionnaires français dans la nuit comme le jour séparé leurs proches impuissants ayant la carte française. Seuls y survivaient les nomades sédentaires qui venaient de la brousse à la recherche de pâturage
C'est après l'enlèvement du car scolaire des 30 enfants français écoliers militairs et civils avec son institutrice en 1974 par des ravisseurs indépendantistes djiboutiens formées en Somalie FLNCS ( Front de Libération des Cotes de Somalies), dont le nombre Aden Robleh Awaleh qui le dirigeait les ont conduits en passant la frontière de djibouti a Loyada en Somalie du Nord et qui a soldé le massacre sur incendies des 29 enfants et leur institutrice du car et le chauffeur dont un fut être rescapé et conduit à Mogadiscio
car scolaire des 30 enfants |
Ceci qui a entraine une polémique médiatique et politique en France sur ce département où elle a donné son indépendance avec des conditions preetablies et qui a précipité les colons à quitter Djibouti en 1976 et y compris ceux qui étaient avec eux ( juifs) en laissant leurs biens immobiliers et vestiges patrimoniaux
Mais peu de colons qui sont nes, sont restés à Djibouti où ils ont la double nationalité et ont ouvert des grandes entreprises et sociétés de transits et sont peu connus par les djiboutiens et participent dans les droits et devoirs de chaque citoyen djiboutien
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