La xénophobie à Djibouti

 DJIBOUTI est une terre de rencontres et d'échange pour sa diversité culturelle, tradition, hospitalité et accueillante  pastorale pour les origines du monde qui se respecte mutuellement 

Il est habitée par ces 2 communautés AFARS ISSAS .sans distinction  raciale ou tribale et qui vit dans l'harmonie et paix avec des maisons faites bois et tôle depuis 1900 avec les colons  français qui les exploitent 

Apres son indépendance jusqu'en 1999 à l'arrivée des YÉMÉNITES ethiopiens et Somaliens (Issaks Gadabourcis Darowd etc..) soudanais se sont mulplies et qui ont plus rempli les différents endroits dans les secteurs de main d'œuvre du pays d'ou l'xénophobie des AFARS ISSAS  s'est installé contre eux

Dans cette haine des autres provoquées par les jeunes et influences par leurs ancêtres    entre parfois des affrontements entre eux sans incidents majeurs dans les quartiers ou les forces de l'ordre s'interposent et tendent la clame  tranquillité 

  Cette paisible dans ce pays est menacée par l'xénophobie des AFARS et ISSAS qui se multiplie dans les quartiers populaires et les discrime des occupants étrangers des YÉMÉNITES ethiopiens et Somaliens (Issaks Gadabourcis Darowd etc..) soudanais qui  les surnoyient dans les activités lucratives commerciales main d'oeuvre etc… et prennent place et deviennent cs citoyens ordinaires après les obtentions  de la carte d'identité 

Ses occupants étrangers des YÉMÉNITES ethiopiens et Somaliens (Issaks Gadabourcis Darowd etc..) soudanaiss sont intégrés au fil du temps et ont participé  les développement du pays dans la majeur partie et sont répertoriés dans différents quartiers connus ou peu des mélanges subsistent pour sa mixité qui se développe au sein de la nouvelle génération

Ces occupants se divisent eux mêmes et se battent quelques fois lorsque l'un des  pays origines est menacée par la guerres civile entre  eux comme en Somalie ou  Éthiopie ou les forces de l'ordre s'interposent et tendent la clame  tranquillité  

Dans chaque commaunte a sa spécialité:   

• pour les yéménite qui ont le sens du commerce 

• Pour les éthiopiens  qui ont les des ses main d'œuvre 

• Pour les somaliens qui ont la gérance des affaires commerciales 

• Pour les soudanais qui ont le sens des cultures 

Depuis cette xénophobie beaucoup ont quitté  en 2003 le pays et ont laissé des traces nostalgiques derrière eux et ont retourné leurs d'orgines après avoir fait fortunés dans la vie quotidienne 

Ils sont victimes de cette xénophobie ou patriotismes par ces extremes droites lors des élections  législatives et communales et y votent  parfois les autres concurrents  qui leur promettent des vies meilleures mais ils les sont dupes facilement 

Peu sont marginalisés et persistent de vivre dans l'anonymat et espèrent de trouver une vie meilleur  plus tard ou certains y travaillent dans les administrations publiques 

Ces YÉMÉNITES ethiopiens et Somaliens (Issaks Gadabourcis Darowd etc..) soudanais y vivent et se cotoyent paisiblement dans les quartiers Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q7 AMBOULI Peu somaliens et yéménites habitent de BALBALA parfois dans des abris délabrés et maisons chères et ou en état de démolition pour les somaliens éthiopiens  soudanais 

Ces fachistes xénophobes les reprochent souvent les insalubrité publiques et manques d'hygiène et civilites du pays et des moeurs surtout les éthiopiens  dont la majeur partie y est présenté depuis de retour de 2003 

Ils sont interdits de vivre dans certains quartiers de pays comme le  ARIHIBA oiyr les somaliens Q6 Q 7 BIS  BALBALA et district comme ALI SABIEH ou ils décimées radicalement et peu somaliens y habitent 

Suite de cela les AFARS et ISSAS venant des pays Somalie et Éthiopie , qui ont reçu la naturalisation rapidement a partir de point de rentree ( LOYADA ALI SABIEH DIKHIL OBOCK TADJOURAH ) par un parent proche, ont gagné les terrains et chassent les occupants dans les secteurs formels et informels apres aide massive de l'état qui les subventionne dans les marchés et font des concurrences rudes contre les occupants 

L'État  donne des  appels d'offres aux AFARS et ISSAS pour les constructions etc… et les supervise constamment mais les occupants y font des corruptions pour ces appels d'offres dans les secteurs formels et informels et constructions etc… et le reçoivent peu des subventions avec intérêts 

Cette xénophobie entraîne des disparités  sociales  économiques et politiques ou peu des occupants  sont  représente dans les élections  législatives et communales et donne une fracture, division et le rejet des autres dans un pays ou il y a une démocratie pluraliste 

Ces occupants y participent les collectivités locales et municipales et syndicales dans le respect de la constitution ou ⅓ sont représentés et les developpent activement pour la societe 

Certains de occupants rejettent leurs nationalités djiboutiennes et y vivent dans leurs pays d'origines après cette xénophobie et patroistisme dont ils sont victimes et écoeurés

Ce patriotisme djiboutien dont ils étaient fiers autrefois est devenu utopie pour eux et les générations futures qui débattent, attaquent sans relâche les tachistes et se battent pour leurs droits d'existences mais certains y baissent les bras 

Dans le système politique seuls les somaliens Yemenite sont représentes lors des élections  législatives et communales et politiques et ⅓ sont acceptés 

Ces anti fachistes et les métissages AFARS et ISSAS se battent a côté d'eux contre ces extremes droites et y relatent les parcours encouragents pendant et après l'indépendance du pays par leurs ancêtres face aux colons français 

Depuis la crise au YEMEN en 2015  plusieurs yéménites sont venus se  réfugier e Djibouti et se sont mélangés avec la population  grâce au sens de commerce qui louent plus de boutiques maisons etc...