Les sans-abris à Djibouti

 Les sans-abris à Djibouti sont d'origines la plupart des éthiopiens (80%) ou somaliens (70%) et de djiboutiens (5% )et des yéménites (2%) Et de Syriens (2%) de des Kurdes 1%) vivants dans les quartiers de la ville sans ressources ou aides extérieurs et soutiens des associations ou ONG et se débrouillent  comme ils peuvent en mendiant ou volant les djiboutiens ou européens américains expatriés ou ressortissants etc… afin de subvenir les besoins quotidiens

les enfants sans abris dormants dans les quartiers 

Ils dorment en plein air dans les rues ou dans les coins et sont exposés toutes sortes de maladies sans recevoir des médicaments ou des soins sanitaires et qui meurent dans l'anonymat et enterrés dans les cimetières du PK 12 


Ils sont aussi victimes des changements climatiques (pluie, chaleur,  vent violent etc..)  ou ils n'ont pas de quoi se protéger contre le froid et la pluie et ne reçoivent aucune aide extérieure et se protègent comme ils peuvent et sont exposés à plusieurs maladies dont ils souffrent. Seules les associations comme CARITAS les viennent parfois et pas d'associations ne sont souscrites en leur faveur 


Depuis leurs installations à Djibouti ils sont victimes de l'exclusion et marginalisation ou ils int sont considérés des personnes à part pour leurs comportements et agissements au sein de la société ou certains les répriment mais par respect humain et islamique d'autres les acceptent tels qu'ils sont et donnent  leurs premières  nécessité de vivre et offrent un sourire 


Depuis le COVID19  en 2019 à Djibouti et la récession économique en 2008 leurs nombres ont considérablement diminué à cause des fermetures des frontières et contrôle à des cas personnes infectées et leurs refus de rentrer à Djibouti sans avoir été vaccinés ou suivis par des agents de santé de leurs pays. Pour ce faire ils traversent clandestinement les pays en passant les frontières par des passeurs après avoir payés les frais de voyages et  certains meurent au cours de chemin


Des associations ou ONG comme CARITAS soutiennent les  enfants  ( filles et garçons ) sans abris, soignent toutes sortes de maladies et reçoivent des médicaments ou des soins sanitaires et éducatifs et peu les suivent, sont délaissés par les autres qui continuent à leurs vies actives. Néanmoins ils refusent ces aides par leur d'être christianiser. Aucune ONG ou association Djiboutienne  créée à cet égard ne les prend en charge pour assouplir les misères et le désarroi. 

les enfants pris en charge par CARITAS 


Beaucoup  de sans-abris refusent de partir et gagnent mieux à Djibouti, vivent aussi dans la tranquillité  bien qu'ils soient négligés par les djiboutiens qui leur reprochent des  vagabondages et ne font  pas confiance en eux pour leurs vols, escroqueries, abus de confiances  etc...


En 2010 Beaucoup de sans abris  éthiopiens et somaliens (70%) tentaient de traverser clandestinement la mer à bord des embarcations de fortunes  conduites par des afars ou yéménites avec des passeurs en allant le pays de golfes comme ARABIE SAOUDITE OMAN QATAR KOWEÏT etc…  en payant  les peu qu'ils ont gagnés ou épargnés mais nombreux sont morts par noyade ou renversement. 


Depuis la création des GARDES DE CÔTES DJIBOUTIENNES  en 2011 leurs nombres sont baissé de 60% suite contrôlés effectuées par cette unité dans les eaux djiboutiennes Suite de cela les foyers ou locaux djiboutiens ont connus une pénurie des femmes et hommes qui travaillent

La GARDE DES COTES A DJIBOUTI 


Quelquefois la société civile les chasse ou donne les vivres ou d'argents ou passent devant sous leurs regards tristes et incertains Quand ils en trouvent quelques choses ils partent directement chez eux sans l'association ou le HCR le prend en charge pour leurs rapatriements avec des sommes d'agents en les donnant de quoi vivre dans leurs pays 


Souvent les sans abris reçoivent des aides ou offres pendant les fêtes religieuses islamiques djiboutiennes comme Fin de Ramadan et Tabaski des vêtements nourritures etc...par des religieuses  djiboutiennes  qui appliquent les conditions religieuses ou le jeudi matin que les sans abris mendiants font la quête devant les grands magasins  boutiques  en recevant quelques à sommes d'argents pour subvenir leurs besoins 


Depuis  son indépendance en 1977 Djibouti a connu peu des sans abris venant des pays Éthiopie  et SOMALIE qui sont limitrophes ou ils n'avaient des guerres  civiles ou politiques ou sociales ou économique et se mélangeaient dans la population active dont certains  travaillaient et d'autres faisaient des actes des violences délinquances ou crimes etc… et qui font peur aux citoyens djiboutiens ou étrangers dont la plupart sont ciblés 


Depuis les guerres en Éthiopie  et SOMALIE en 1991 des grands nombres sans abris de ces pays sont venus dans l'espoir d'y retrouver  la paix et se sont installés en toute clandestinité depuis ce jour et sont arrivés en grands nombres femmes enfants hommes  femmes, vieillards qui ont fui la guerre et misère et la faim et manque de solidarité familiale ou coutumières dont les éthiopiens ne respectaient pas et font n'importe quoi pour y survivre 


Ces sans abris viennent parfois à Djibouti en famille, en groupe ou par cas isolé ou quittent les centres des réfugiées ASSAMO ou ALI ADDE (ALII SABIEH) soutenus par l'ONARS OU HCR et viennent mendier ou travailler dans la pays et s'intègrent dans les marchés de travail comme ouvrier plombier maçon  menuisier ferrailleur  etc...dans les chantiers de constructions employées par des sociétés qui exploitent le travail au Noir. Certains gardent  des maisons de luxe ou secondaires HARAMOUSSE HÉRON etc...et sont exploites par des propriétaires ou autorités de l'état qui  exploitent le travail au Noir. 

les sans abris clandestins 


Mais lorsqu'il a des activités dans les centres de Réfugiés ils partent à la recherche des profits et reviennent à Djibouti et continuent leurs modes de vie quotidienne. ils sont victimes des rafles de polices ou ils sont conduites vers le centre de Transit pour refoulement vers leurs pays d'origines mais reviennent aussitôt dans la capitales et poursuivis leurs démarches quotidiennes et journalières 


La plupart des sans abris étrangers (éthiopiens ou somaliens) viennent de la brousse et villages  et peu  des citadins aussi qui fuient la guerre, la famille et  sans pièce à d'identité,  certains ne vont pas aux centres des réfugiés ASSAMO ou ALI ADDE  (ALI SABIEH) soutenus par l'ONARS OU HCR et se débrouiller en ville comme ils peuvent ou la chance leur sourit parfois comme accident involontaire et léger en recevant des préjudices corporels et d'autres se tournent vers leurs familles proches résistant à Djibouti en demandant assistance financière et sociale


Ces sans abris sont souvent conduits, par la police qui effectue des rafles chaque jour:dans les quartier et centre ville, vers le centre de Transit pour refoulement vers leurs pays d'origines mais reviennent aussitôt dans la capitale et poursuivis leurs démarches quotidiennes et journalières dans la clandestinité et dans la méfiance aussi 


Il y existe des différents sans-abris à Djibouti: 

  • Les sans abris de fortunes 

  • Les sans abris délinquants 

  • les sans abris drogues 

  • Les sans abris djiboutiens 

  • Les sans abris débrouillard

  • Les sans abris religieux

  • les sans abris orphelins enfants 

  • Les sans abris travailleurs

  • Les sans abris mendiants 

  • les sans abris djiboutiens 

  • les sans abris yéménites, Syriens et  Kurdes 

  • Les sans abris jeunes et mineurs 

  • Les sans abris prostituées 

  • Les enfants  sans abris 


Pour les sans abris djiboutiens qui sont souvent des  hommes qui se débrouillent  en demandant des sommes d'argents  les gens qu'ils connaissent de près ou de loin et refusent de travailler et qui sont rejetés par leurs familles pour ivresse vol délinquances et marginalisation etc … ou qu'ils travaillaient auparavant dans des sociétés et qui sont très en chômage technique et qui dorment dans les rues ou routes etc ...et réprimés par la famille et la société civile pour leurs actes ignobles et honteux pour la famille déshonorée  


Pour les  sans abris yéménites, Syriens et  Kurdes, depuis les guerres de MOYEN ORIENT en l'an 2000 des yéménites (2%)?, de Syriens (2%) et  des Kurdes  (1%) sont devenus sans abris dans la capitale et se brouillent comme ils peuvent en créant des petits boulots comme cuisiniers dans des ventes mobiles SANDWICHES FRITES OEUFS OMELETTES etc... et se déplacent à la recherche des clients et sont parfois chassés par la Police et la PRÉFECTURE et certains y vivent dans des maisons de location ou habitent avec des tierces personnes et fuient les centres des réfugiées MARKAZI ( à OBOCK)  soutenus par l'ONARS et HCR, viennent travailler dans la pays et s'intègrent dans les marchés de travail comme ouvrier plombier maçon  menuisier ferrailleur  etc...dans les chantiers de constructions employées par des sociétés qui exploitent le travail au Noir. Certains y mendient dans les mosquées et dans les rues aussi etc.. mais d'autres ont la honte 


Pour les sans abris débrouilleurs sont en majorité des enfants hommes femmes âgées qui ramassent les bouteilles en plastiques ou autres chose intéressante et vendables  dans les poubelles ou rues ou ils souffrent des bénéfices pour leur vie quotidienne et sont payés selon leurs vente et épargnent leurs soldes afin de partir vers le Pays d'origines. 


Beaucoup de femmes balaient devant les maisons  de djiboutiens le matin ET jettent les poubelles et reçoivent des prix en fonction du travail qui nourrissent sa famille qui se sont regroupés. ils sont victimes des rafles de polices ou ils sont conduites vers le centre de Transit pour refoulement vers leurs pays d'origines mais reviennent aussitôt dans la capitales et poursuivis leurs démarches quotidiennes et journalières 


Pour les sans abris prostituées sont généralement des filles ou femmes éthiopienne ou somalienne qui se prostituent dans les rues ou routes ou véhicules de 21h00 a 5h00 du matin en faisant des racolages avec des prix moins chers ( 500 à 2000fdj)  car elles ne peuvent pas louer une maison close qui est chère et ciblent des étrangers et djiboutiens et parfois avec ou sans préservatifs. beaucoup sont raflées par la police des moeurs qui y surveiller leurs agissements et placé en détention au geôles du Commissariat  central pour racoĺages et atteinte aux bonnes moeurs et parfois déférées au Parquet de Djibouti. 

les jeunes filles ramasseuses des restes de KATHS


Pour les enfants orphelins et sans abris Peu des enfants sans père et mère qui se debrouillent en ville et deviennent parfois des cireurs et laveurs des vehicules etc .. dans les quartiers au centre ville et mangent les restes de clients aux restaurants Pour apaiser leurs faims ou les en partagent ensembles 


Pour les jeunes filles elles deviennent des femme de ménages ou babysters etc…dans des maisons fe mises ou de quartiers et gagnent des sommes dérisoires ou bien fe 10000fd a 20000fd ou elles travaillent 7jrs/7 et de 06h00 a 18h00 


Mais depuis le COVID19 rt le SIDA  Peu de femmes racolent dans les rues car elles ont quitté Djibouti ou mortes du SIDA ET COVID 19, suite de la récession budgétaires du pays et par manques des touristes ou étrangers  militaires ou civils.ils sont victimes des rafles de polices ou ils sont conduites vers le centre de Transit pour refoulement vers leurs pays d'origines mais reviennent aussitôt dans la capitales et poursuivis leurs démarches quotidiennes et journalières 


Pour les sans abris travailleurs sont impliqués de tous les sexes ou ils travaillent dans les restaurants chantiers femmes de ménages gardiens et reçoivent des sommes d'argent ( journaliers ou mensuels ). Mais qu'ils s'enrichissent ils partent de leur pays d'origine et créent des affaires de commerces ou logements. Durant leur travail ils épargnent les salaires  sur les dépenses 

Ils sont comme suite :

  •  Les enfants mendient les passants ou véhicules 

  • Les filles  travaillent comme femme de ménages ou garde enfants dans les maisons différentes économiques 

  • Les hommes travaillant dans les chantiers de restaurants vendent des kaths  boutiques etc… 

  • Les femmes travaillent comme artisanale de paille ramassent des ordures ménagères dans les maisons de quartiers 

    les enfants cireurs de chaussures 


Pour les sans abris délinquants qui sont essentiellement des hommes garçons qui ciblent les djiboutiens ou européens américains expatriés ou ressortissants  touristes etc… afin de subvenir aux besoins quotidiens en les volant, agressant avec violences sans remords et même parfois les forces de l'ordre  qui les interpellent comme les éthiopiens tenant des poignards. Souvent sont déférés au Parquet de Djibouti ou ils sont condamnés à des  peines lourdes selon les infractions commises et sont entassés dans la prison de Gabode et sont refoulés leurs pays d'origines après la peine fermé 


Pour les sans abris drogués  qui sont à la fois Éthiopie  et somaliens en boivent des bières ou vins alcoolisées en achetant les prix reçus ou gagnés ou récoltés dans la journée et se saoulent dans la soirée ou ils sont victimes des accidents routiers pendant qu'ils traversent la chaussée et gagnent parfois des préjudices au Parquet. 


Certains y meurent  dans l'anonymat et sont enterrés aux cimetières du PK12 et d'autres y continuent à la cadencés et deviennent des délinquants notoires qui attaquent les passants lorsqu'ils sont à sec d'argent et se saoulent en plein matinée. ils sont victimes des rafles de polices ou ils sont conduites vers le centre de Transit pour refoulement vers leurs pays d'origines mais reviennent aussitôt dans la capitales et poursuivis leurs démarches quotidiennes et journalières 

les enfants drogues


Les sans abris religieux qui sont des hommes ( somaliens ou éthiopiens ) travaillent dans les mosquées de la ville et des districts comme gardiens nettoyeurs etc… et reçoivent des salaires maigres de la part des fidèles ou responsables des mosquées ou par aumône en compensation sans que l'Etat ne le reconnaît et vivent dans les mosquées 


Pour les sans abris mendiants sont des femmes enfants ou hommes vieillards parfois qui mendient dans les quartier ou des rues etc..  en cherchant des quoi se nourrir et égarent le peu qu'ils trouvent. Ces derniers ne peuvent pas travailler à cause de leurs vulnérabilités et sont souvent en quête des profits durant les fêtes et les mois de salaires ou cérémonies et cherchent les endroits les plus fréquentés des gens aisés et ciblent les touristes expatriés coopérants étrangers etc… ils sont victimes des rafles de polices ou ils sont conduits vers le centre de Transit pour refoulement vers leurs pays d'origines mais reviennent aussitôt dans la capitales et poursuivis leurs démarches quotidiennes et journalières 


Pour les sans abris de jeunes et mineurs qui sont filles et garçons qui sont victimes  des rafles de polices ou ils sont conduits vers le centre de Transit pour refoulement vers leurs pays d'origines car ils inspirent de colles de chaussures et pénètrent dans les quartiers commerçants ou  se trouvent dès les touristes expatriés coopérants étrangers etc… en le mendiant ou les volant leurs argents et se bagarrent entre eux, ne suivant pas aucun milieu scolaires éducation et parfois deviennent des cireurs de chaussures et ou laveurs des véhicules et ils partagent ensemble et ou se divisent sur les biens dont ils ont eu et trouvés 

les enfants mineurs recueillis 


Pour les sans-abris de fortunés qui sont des gens qui sont peu fortunés la rapport aux autres en épargnant les revenus journaliers et travaillent sans relâche  dans des différentes sociétés ou entreprises. Ils sont à la fois hommes et femme garçons et filles après de travail difficile  en recevant des gains faibles ou ils épargnent aussi des gens pour construire une vie meilleur dans leurs pays 


Les enfants des sans-abris sont nés à Djibouti par des parents sans pièces d'identité dans les hôpitaux de la ville et recouverts des actes de naissances ou ils sont suivis par des agents de santé qui donnent des prestations sanitaires et éducations et parfois sont intégrées dans milieu djiboutien ou certains les poussent à cause de leurs appartenances et de régions sont ils sont venus 


Les autres enfants sans abris inspirent de la “colle des chaussures” comme drogues de dépendances et néfaste pour leurs santés et les  achètent à 50fdj et mangent les restes de repas de clients de restaurants contre le faim et dorment en groupe  à la belle étoile dans les rues ou endroits de la capitale. Quelques fois l'association CARITAS ET SAVE  CHILDREN  leur donne à manger et de quoi se vêtir contre le froid en hiver et les fêtes 

l'association CARITAS


La débrouille et la mendicité et leurs solidarités sont les seules armes pour y vivre dans cette société qui les margnalise et qui les rejette aussi moins que la délinquance l'alcoolisme, faim et exclusion marginalisation changement climatique internationale  prostitution qui détruisent leurs vies  


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