Le travail à Djibouti

 Depuis son indépendance en 1977 après la colonisation de la FRANCE depuis en 1886 après le parage de l'Afrique suite de la conférence de Berlin par BISMARCK Chancelier de l'Allemagne, Djibouti est devenu une plaque tournante économiques pour la sous région de l'Afrique de l'est grâce son point stratégique sur le carrefour de l'océan indien ou y  passent tous les navires marchands du monde sur le canal de Suez qui relie l'Asie l'Europe  et l'Afrique 



Suite de la signature de Djibouti  auprès de l'ORGANISATION INTERNATIONALE DE TRAVAIL Le Ministère de l'Emploi a été créée en 1978 après l'indépendance par le Nouveau Gouvernement djiboutien et qui régularise les directives de travailleurs aux sociétés et entreprises  en donnant les décrets et arrêtés venant du Gouvernement pour application et leurs modalités des démarches administratives et attaché au BUREAU DE l'EMPLOI et l'INSPECTION  DU TRAVAIL et des LOIS SOCIALES et la CAISSE NATIONALE DE SÉCURITÉ SOCIALE (CNSS) et lutte contre le travail au Noir et des travailleurs clandestins immigrées et  la discrimination et exclusion corruption rt licenciements abusifs etc.. ou le travailleur djiboutien gagné moins 1$ par jour 




De 1977 à 1999 le Gouvernement djiboutien a décrété que toutes les sociétés ou entreprises  doivent passer les services de BUREAU DE l'EMPLOI attaché au Ministère de l'Emploi pour tout recrutement des travailleurs et déclare aux services l'INSPECTION  DU TRAVAIL et des LOIS SOCIALES et La CAISSE NATIONALE DE SÉCURITÉ SOCIALE (CNSS


Cet l'institut Nationale d'aptitude professionnelle (INAP) donnes des formations, séminaires, HIÉRARCHIE stages de perfections  aux nouveaux fonctionnaires recrutés par déontologie, insertion, rendement et le respect de la charte du travail sur leurs fonctions


En  1999 jusqu'à ce jour ce décret a être modifié par le Gouvernement ou toutes les sociétés ou entreprises sont libres de recruter les travailleurs de leurs choix selon leurs modalités ou besoins du services avec ou sans qualification ou expérience et de les licencier conformément  aux lois sans passer le services l'INSPECTION  DU TRAVAIL et des LOIS SOCIALES et La CAISSE NATIONALE DE SÉCURITÉ SOCIALE (CNSS


Le BUREAU DE l'EMPLOI attaché au Ministère de l'Emploi et du ministère de l'Éducation Nationale et de l'Insertion Professionnelle  (MENFOP) a donné espoir aux jeunes travailleurs sans diplôme des formations techniques et pratiques dans des centres agréés par l'Etat durant comme chauffeurs engin de chantier maçonnerie  menuiserie  plomberie etc… afin d'échanger les travailleurs étrangers et de se lancer dans la vie active pour sortir du chômage 


Elles doivent impérativement déclarer leur employée la CNSS ou SMI autrefois qui regroupent toutes les entreprises ou sociétés exerçant  à Djibouti et quelques services de l'État autonome comme EDD ONEAD OVD PORT DE DJIBOUTI etc…


UGTD
Le syndicat "UNION GENERALE DES TRAVAILLEURS DJIBOUTIENS" appelé  "UGTD"créé en 1980 après des groupes syndicaux djiboutiens a pour objectif de lutter les intérêts des travailleurs sur les conditions de vie et du travail aupres des sociétés ou entreprises et qui reçoit leurs doléances des travailleurs réprimés et agisse devant les tribunaux et auprès de l'INSPECTION  DE TRAVAIL et des LOIS SOCIALES rt d'éradiquer les travailleurs clandestins ou immigrés qui travaillent au Noir dans la plupart des société et entrepriseà privées qui paralysent le système fiscalise et d'impôts  Pas de syndicat pour les fonctionnaires d'État malgré ces fléaux  qui se répandent 


l'INSPECTION  DE TRAVAIL et des LOIS SOCIALES attachée au Ministère du Travail effectué chaque année la chasse aux travailleurs clandestins ou immigrés qui travaillent au Noir dans la plupart des société et entrepriseà privées et verbalise les auteurs et ferme les portes  jusqu'à une décision de justice après comparution et surveillés les conditions de vie des travailleues et leurs équipements ournaliets rt explusent les travailleurs  clandestins ou immigrés 


La CAISSE NATIONALE DE SÉCURITÉ SOCIALE (CNSS)  créée en 1980  autrefois  appelée SMI  prend  en charge toutes les employés ou fonctionnaires en retraite qui est déclaré à la CNSS et planifie leurs obtentions de retraites aussi dans l'année  qui sont bons nombres de tous les sexes actifs en fonction de leurs salaires Pour certaines y meurent avant de l'obtenir et d'autres y prennent paisiblement et donné les indemnités  et préavis aux employés



Depuis 2010 après l'initiative du Président ISMAIL OMAR GUELLEH qui a instauré la CARTE D'assurance Maladie (CAM) ou tous employés et leurs familles et chômeurs peuvent se soigner dans les différents centres de santes du pays sans qu'ils paient des frais médicaux et consultations du Médecin et qu'ils soient inscrits a la CAISSE NATIONALE DE SÉCURITÉ SOCIALE (CNSS) ou beaucoup en beneficent favorablement 


De 1977 à 1999  Djibouti a eu peu connu des entreprises ou sociétés djiboutiennes et étrangères  qui étaient implantées comme COLAS, COSMEZZ , GROUPE BORREH etc… qui y travaillent avec l'ÉTAT qui donnent des appels d'offres pour construction des routes ou bâtiments etc...et peuvent dès société comme DJAMA AOULED etc...  y participaient mais certains ont fait faillite comme DJAMA AOULED et COLAS BORREH COMEZZ  etc… par concurrence 


Grâce à ce développement économique et social le travail initié par le Président ISMAIL OMAR GUELLEH de 1999 à ce jour pour  ouverture économique  le travail à Djibouti se prospère tant bien que mal avec la globalisation et m' les concurrences entre les pays dans le marché international et les maladies ou guerres qui se propagent au fur et à mesure avec le temps et beaucoup des entreprises ou sociétés comme MARILL MASSIDA EDC HAMADANI NOUGAPRIX AL-GAMIL HAWK FRATACCI COUBECHE LOOTAH  ISOTHERMA etc… ont vu le jour  et plein de compétitivité aussi 


Suite  de la globalisation  et mondialisation beaucoup de PETITES entreprises ou sociétés  tombent faillites  par concurrence ou par manque d'achat ou  par offre et demande du jour au lendemain dont seules les multinationales y persistent d'avantages ET recrutent les cadres en chômage et sont rachetés par des grandes entreprises telles que MARILL MASSIDA DJIB-FU SARL EDC HAMADANI NOUGAPRIX AL-GAMIL HAWK FRATACCI COUBECHE LOOTAH  ISOTHERMA etc… qui investissent beaucoup dans le marché djiboutien et les points de ventes de places avec les produits hauts de gammes importés d'Asie Europe  USA  Chine etc… et y fournissent aux demandeurs  tels que  FFDJ CAMP LEMONNIER JAPONAIS ITALIEN ALLEMANDES  ET ESPAGNOLES etc...


Dans le travail à Djibouti, il y existe de déparfoisfauts qui blessent  les travailleurs venant  entre les employés ou par la Direction  à cause leurs classes sociales ethniques tribales, religieuses, discriminations restrictions  budgétaires ,harcèlement licenciement abusif marginalisation,  infériorité des classes, beaucoup  en souffrent mentalement et psychologiquement et physiquement ou certains quittent leurs emplois pour en échapper des préjuges et d'autres résistent à ses fléaux qui débordent dà la société pour subvenir aux besoins de sa famille ou qui même ou ne pas tomber dans le chômage longue durée obtenant des salaires de misères sans réclamation auprès de  l'INSPECTION  DE TRAVAIL et des LOIS SOCIALES


Plusieurs syndicats djiboutiens pour les travailleurs comme les dockers etc… sont fait connaître réclament sur les droits qui sont bafoués par les entreprises ou sociétés auprès de l'État et l'UGTD  mais vaine et sont réprimés par les forces de l'ordre lors des manifestations imprévues 


A Djibouti le travail est devenu très tribale ou clanique depuis 1999  dans les entreprises ou sociétés djiboutiennes MARILL MASSIDA NOUGAPRIX HAMDANI AL-GAMIL FRATACCI COUBECHE LOOTAH  ISOTHERMA etc… ou le travailleur est recruté par son clan ou  tribu  avec ou sans diplôme mais les autres ne sont pas retenus  suite de concours ou examens de passage mais peu réussissent des passages. Ils font ça afin de préserver le clan ou tribu et la sauvegarde  de la société contre vol ou escroquerie, faillite banqueroute etc…contre les gens extérieurs  qui y travaillent 


Depuis l'arrivée des Grandes Puissances étrangères  en 2001 comme USA Allemagne  JAPON  Italie et la CHINE etc… beaucoup de djiboutiens  (hommes et femmes)  ont reçu des travaux par les biais des sociétés "sous traitants" (HARMONICA G4S G1S EAD SECURITAS DJIB-CLEAN etc…) qui les emploient comme des vigiles gardien  femme de ménage et main d'œuvre etc…. et  qui donnent peu des salaires aux salariés insuffisants pour leurs quotidiens et qui les réclament des augmentations hauts et forts aux responsables qui les refusent  sous les yeux impuissants du BUREAU DE l'EMPLOI et des services l'INSPECTION  DU TRAVAIL et des LOIS SOCIALES et La CAISSE NATIONALE DE SÉCURITÉ SOCIALE (CNSS) et syndicat "UNION GENERALE DES TRAVAILLEURS DJIBOUTIENS" appelé  "UGTD" et le Ministère du TRAVAIL et dew réformes sociales


Peu des sociétés  ou entreprises refusent d'employer des actes tribales ou ethniques  ci dessus et recrutent passivement des employés étrangers avec ou sans diplômé qui donnent des bons rendements et y travaillent plus que les autres préférés et reçoivent des avantages ou bénéfiques


Pour remédier ces fléaux (leurs classes sociales ethniques tribales, religieuses, discriminations restrictions  budgétaires ,harcèlement licenciement abusif marginalisation,  infériorité des classes) ces travailleurs ont créé un syndicat "UNION GÉNÉRALE DES TRAVAILLEURS DJIBOUTIENS" appelé  "UGTD" qui lutte pour les intérêts des travailleurs sur les conditions de vie et du travail auprès des sociétés ou entreprises et qui reçoit leurs doléances et organisé comme le 1er Mai ( fête de travail international ) et exposent leurs réclamations auprès de l'État qui fait des propositions ou décrets . Ce syndicat est souvent désintéressé par les travailleurs qui reçoivent rien des concrètes de la part des dirigeants 


Depuis 1999 le taux de chomage a augmenté de 60% à cause de classes sociales ethniques tribales, religieuses, discriminations restrictions budgétaires ,harcèlement travail au Noir  corruption licenciement abusif marginalisation,  infériorité des classes qui ont ete intégrées passivement par les sociétés étrangères ou djiboutiennes ou l'Etat  ne peut pas agir contre ces fléaux comme les sociétés chinoises ou turques etc... et beaucoup  de travailleurs se plaignent sur les mauvaises conditions de travail pour leurs sécurité ou la majorité est victime des accidents de travail ou perte leur vie mais  peu sont indemnisés devant les tribunaux après que l'INSPECTION  DE TRAVAIL et des LOIS SOCIALES n'a pas pu régler  leurs différents entre eux et le syndicat "UNION GÉNÉRALE DES TRAVAILLEURS DJIBOUTIENS" appelé  "UGTD" n'agit rien dans ses affaires et appelle au dialogue et entente  er même y existent dans le secteurs informels des préjugés ci dessus 


A Djibouti il y existe 7 catégories de travail qui sont: 

  1. La main d'œuvre 

  2. Le travail artisanal

  3. Le travail journalier 

  4. Le travail informel 

  5. Le travail au Noir 

  6. les sociétés sous traitantes 

  7. Le travail dans les sociétés ou entreprises 

  8. Le travail de fonctionnaires


Pour la main d'oeuvre, ce travail est essentiellement fait à la main-d'œuvre avec un savoir faire parfait dans la mesure peu des usines y existent et est basé aussi le commerce import et export grâce à ses Ports  (PAID DMP STGD GOUBET TADJOURAH OBOCK DAMERJOG etc…) dont la plupart sont des commerçants arabes somaliens et afars qui font des transits importe et exports entre les pays Somalie et Éthiopie  au Yémen et de COMESA qui regroupe 7 pays de l'Afrique de l'Est (Somalie, Éthiopie Soudan Érythrée Burundi DJIBOUTI Rwanda) pour un marché commun et libre échange sans douane. Ils sont essentiellement des dockers qui travaillent pour des sociétés ou entreprises  privées. 


Certains sont inscrits à la CAISSE NATIONALE DE SÉCURITÉ SOCIALE (CNSS)  en cas de maladie oui accident ou licenciement etc… et reçoivent les indemnités avec préavis en collaboration au service de l'INSPECTION  DE TRAVAIL et des LOIS SOCIALES  qui règle leurs différends qui se terminent au Parquet de Djibouti 


Ce travail rapporte beaucoup de main-d'œuvre dont la plupart sont des dockers qui chargent ou déchargent les marchandises grâce à leurs forces et endurances physiques ou ils  sont payés  en journalier  avec des salaires dérisoire et en fonction du travail 


Ce travail en main d'œuvre est utilisé par les constructions  de chantiers  publics ou privés par des entreprises immobilières privées ou  de l'Etat qui alimentent de marché en plein expansion où les prix d'immobiliers sont devenus chers suite de l'inflation économique  pour du pouvoir d'achat de 1977 à 2021. 


Les djiboutiens sont victimes de la globalisation et mondialisation ou plusieurs immigrés étrangers expérimentés ( pakistanais indiens Bangladesh éthiopiens yéménites  etc….)   sont venus y travailler dans des sociétés ou entreprises privées qui se concurrencent  entre eux pour l'offre et la demande et reçoivent des salaires honorables et supérieurs aux djiboutiens


Ces immigrés étrangers expérimentés ( pakistanais indien Bangladesh éthiopiens yéménites népalais malgaches etc….)  y travaillent ayant des cartes résidentes délivré par la police et une attestation de travail délivré par ministre du Travail avec concertation des sociétés dans laquelle y emploient


Grâce à ce développement économique et social le tavail initie par le President ISMAIL OMAR GUELLEH de 1999 des sociétés "sous traitants" (HARMONCA  G1S G4S EAD SECURITAS DJIB-CLEAN etc…), reconnus par BUREAU DE l'EMPLOI et des services l'INSPECTION  DU TRAVAIL et des LOIS SOCIALES et La CAISSE NATIONALE DE SÉCURITÉ SOCIALE (CNSS) et syndicat "UNION GÉNÉRALE DES TRAVAILLEURS DJIBOUTIENS" appelé  "UGTD" et le Ministère du TRAVAIL et des Réformes sociales, emploient  des djiboutiens comme des vigiles gardien  femme de menage et main d'œuvre etc…. et  qui donnent peu des salaires aux salariés insuffisants pour leurs quotidiens dans les sociétés banques dans des instances du Gouvernement djiboutien dans bases militaires étrangères en relation étroite avec les ÉTATS membres dont ils travaillent  selon leurs demandes et de quotas préétablis 


Beaucoup  d' employés de ces sociétés sont victimes de leurs classes sociales ethniques tribales, religieuses, discriminations restrictions  budgétaires ,harcèlement licenciement abusif marginalisation,  infériorité des classes



Pour le travail artisanal, il est négligé par les djiboutiens  mais seules  les femmes en y travaillent en faisant des produits locaux intéressants qui attirent aux yeux de touristes étrangers ou expatriés qui achètent avec des prix faibles et moins des hommes font des sculptures métaux et des peintures architecturales et nomadisme  pastoral qui exposent dans les rues de la ville. Pour remédier ce manque le Gouvernement  djiboutien  organise des concours  artisanaux entre djiboutiens et offre des prix intéressants aux gagnants chaque année afin qu'ils poursuivent leurs démarches avec l' association OFFICE NATIONAL DU TOURISME DJIBOUTI. Ces travailleurs sont sans diplômes et n'ayant  suivi aucune formation ou apprentissages et fse sont formés sur le terrain 


Pour le travail journalier, il est en plein essor dans la capitale et districts ou sont souvent exploités par des hommes comme main d'œuvre pour les constructions  de chantiers publics ou privés par des entreprises immobilières  privés ou  de l'Etat dans un temps déterminé avec des accords entre les 2 parties en fonction les travaux  accomplis . 


Ce travail est utilisé par des hommes ayant des connaissances  professionnelles dans les métiers comme menuiserie  électricité maçonnerie ferrailleurs  plombiers  etc… ou sont souvent sollicités lors des constructions des habitations  de luxes ou simples ou en rénovations dans les classes sociales différentes. Ces travailleurs sont sans diplômes et n'ayant le suivi aucune formation ou apprentissages et fse sont formés sur le terrain 


Pour le travail informel, celui  est devenu de plus en plus exploité par des gens qui y travaillent individuellement dans toutes les saisons et temps sans rupture  afin de subvenir à leurs besoins quotidiens et familiaux comme tailleurs courtiers  chauffeurs des minibus taxis bus vendeurs de khat etc.. qui occupent l'ensemble de secteurs de la capitale, ces travailleurs y gagnent souvent les fériés, jours de paies de salaire,  cérémonies etc ... 


Ces travailleurs sont sans diplômes et n'ayant suivi aucune formation ou apprentissages et se sont formés sur le terrain .ils sont pourchassés par les agents de contribution à en association  avec la POLICE ou gendarmerie afin qu'ils payent les patentes ou impôts selon les marchandises exposées car ils compétitivent contre les marchands légaux payant les taxes ou impôts et les vendent moins chère les produits de consommations.ils y occupent des lieux sensibles qui attirent les clients


Il est parfois rentable et difficile pendant les pandémies du COVID 19 et récession économique mais ils reçoivent des  compensations budgétaires et sociales de la part du Gouvernement durant cette épreuve. Beaucoup sont victimes les femmes qui se sont élancées dans  le marché de travail  depuis l'an 2000 suite de l'initiation du Président ISMAIL OMAR GUELLEH et la création d'un Ministère pour les femmes  moins encadrées devant les hommes qui y participent dans tous les domaines. Elles sont marginalisées par les mœurs dans des métiers particuliers selon la tradition  ou coutumes ou religieuses 


Pour le travail au Noir, il est devenu prépondérant dans les classes ouvrières qui sollicitent pour leurs main d"oeuvres moins chère, bénéfique et rentable dont la plupart sont des immigrés ou clandestins éthiopiens  ou somaliens etc… qui donnent des travaux parfois corrects et sont moins payés et ne sont pas inscrits au bureau de l'emploi ou la CNSS  en cas de maladie. Ils  y travaillent  des sociétés fictives à plein tels sans qu'ils soient déclarées à la CNSS ou bureau d'emploi et restent aux dépens de la société qui leur donnent des salaires journaliers  faibles pour leurs substances et difficulté qu'ils portent  plainte  contre elle devant la Justice er des inspecteurs de l'INSPECTION  DE TRAVAIL et des LOIS SOCIALES les chasses les fraudeurs employeurs qui les détournent des lois sociales du travail 


Pour le travail dans les sociétés ou entreprises ,aussi bien étrangères ou que nationales les travailleurs sont bien déclarés à la CNSS après leurs recrus, contrat de travail, au Bureau de l'emploi et sont rémunérés en fonction de leurs tâches et appliquent les lois du travail Djiboutien (en 2000 ou l'employeur peut recruter les employés qu'ils désirent) international et plus compétitives entre elles dominantes ou  certaines tombent faillites ou rachetés par d'autres entreprises multinationales comme MARILL MASSIDA NOUGAPRIX AL-GAMIL FRATACCI WABERI COUBECHE LOOTAH  ISOTHERMA etc…. qui emploient plus de salaries (étrangers pakistanais indous Bangladesh éthiopiens yéménites  etc…) ou  nationaux 


Le travail de fonctionnaires est important dans les secteurs publics ou 30% de travailleurs y occupent des places dont 70% de chômeurs moins de 30 ans, est limité de 25 ans a 60 ans révolus pour tout travailleur public ou privé. 


Ces derniers passent des tests ou concours ou examens pour recrutements à l'institut  Nationale d'aptitude professionnelle (INAP) attaché au Ministère de l'emploi et reçoivent des formations auprès de leur Ministère qui l'a recruté. Ils sont recrutés parfois sans diplôme  ou par connaissance ou par tribus ou ethnique clan dans le Ministère  ou services et y gagnent des salaires en fonction  de leur travail 


Le travail Djiboutien reste toujours un grand problème  majeur  économique et social pour le Pays dont le taux de chômage augmente  chaque jour ou l'Etat lutte sans cesse rt qui paralyse la jeunesse djiboutienne  qui  est victime et que 30% des travailleurs immigrés  et clandestins  y travaillent en toute impunité et gagnent plus que les nationaux  


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