La décadence de la fille djiboutienne

 Dans le temps nomadisme la fille est une perle rare à trouver ou la draguer aussi bien que dans la ville et dans les campagnes elle est très chaste et surveillée par sa famille et elle s'occupe des tâches ménagères et familiales du domicile et ne sort que pour le pâturage des animaux domestiques quand les hommes partent en guerre et préserve l'honneur et dignité de sa famille et le regard des autres. Elle était difficilement  abordable 



Pour son mariage il y avait 06 conditions qui étaient abordées:

  • Soit c'était un mariage arrangé ou la famille lui en décidait si elle était timide 

  • Soit un mariage  clanique ou elle était mariée par un membre de sa famille ou le bien de la famille sera  préservé 

  • Soit c'était un mariage simple ou elle rencontre son âme soeur par hasard 

  • Soit un mariage coûteux ou l'homme payait plus des animaux domestiques ou cheptels à la mariée et sa famille 

  • Soit elle tombe enceinte pour se marier l'homme qu'elle l"aime et que sa famille lui a refusé 

  • Ou elle fait un mariage blanc avec lui et vit dans l'anonymat 


Au fils du temps et de son évolutions des familles se retrouvent confronter à la sécheresse pour leurs cheptels qui meurent chaque jour ou la faim leur guerre dans cesse et personne ne peut le secourir . Donc l'exode rural s'impose en ville ou la fille parte chez leurs familles proches ou sans pour une vie meilleur 


Dans la ville elle découvre une autre façon  de vivre en rencontrant des filles qui ont leur pleine liberté et savoir vivre et faire et qui se mute de jour en jour. Étonnée dans ce cas elle adopte les méthodes en passant avec du le temps et oublie les coutumes nomades


Elle cultive sur la profession du metier et l'enseignement en éducation et participe la vie active suite des appuis de ses proches qui les insistent à se réformer fondamentalement  et spirituellement et chercher son âme sœur discrètement. Elle se marie avec lui dans la tradition et culture islamique et procure des enfants à lui et investisse sa famille pauvre financièrement et garde la relation avec sa tribu et son clan et le participe à son développement économiques et social 


Durant ce temps moderne elle bénéfice les atouts elle apprend les filles citadines parfois les néfastes qui sont le KATH la cigarettes le SHISHA etc… ou elle est influencée directement  donc quand le mari y découvre des agissements et se dispute et se divorce plus tard 


SHISHA
  Après le divorce, elle y continue ces actes, perd la garde de l'enfant et de pension et se retrouve tout seule sans ressource financière. Confrontée cette situation et le rejet de sa famille elle commence à se prostituer en ville dans la voie dans des bars discotheques et dans des maisons closes ou elle la loue avec d'autres filles et y gagne peu 


Avant l'indépendance de Djibouti en 1977 peu femmes prostituées éthiopiennes ou somaliennes parfois djiboutiennes se prostituaient dans les bars et discothèques avec les colons français dont la plupard de femmes prostituées éthiopiennes ou somaliennes parfois djiboutiennes qui cherchent des profits et de vie meilleur et moins de filles djiboutiennes car elles étaient plus chastes et nomades et les plus gagnantes sont femmes prostituées éthiopiennes ET somaliennes parfois djiboutiennes


Certains femmes prostituées éthiopiennes ou somaliennes parfois djiboutiennes se mariaient avec ces colons qui partaient en France ou ailleurs ou elle reçoivent la vie meilleur et d'autres restaient sans ressources et gardaient espoir en eux mais d'autres restent à Djibouti , ont eu des enfants ayant de teintes blanches qui sont différents des autres appelé "les bâtards" et qui sont rejetés et discrimes par la société normale jusqu'à ce jour et qui deviennent les CAÎD du quartier 


Mais après l'indépendance ces filles ont eu la vie dure à cause de cette nouvelle etat qui est née et que tous les colons sont partis. Pour ce faire gagner leur vie mondaine et particulière elle commence à se prostituer en ville dans la voie dans des bars discotheques et dans des maisons closes au QUARTIER II ou elle la loue avec d'autres filles et y gagne peu et vit dans cette dépendance extrême


En 1980 dans ce quartier ci dessus il y avait plusieurs femmes prostituées éthiopiennes ou somaliennes parfois djiboutiennes venues pour s'enrechire sexuellement auprès des jeunes ou des hommes mariés commentant des adluteres ou des actes coquines avec elle et bons nombres de jeunes ont y passes avec ces femmes pour jouir leur plaisir  sexuel 


De nos jours suite des guerre civiles ou famines dans les pays Éthiopie  et SOMALIE plus des jeunes filles sont venues a DJIBOUTI  a la recherche des hommes pour de marier ou faire de la prostitution et ou travailler comme femme de ménage pour y gagner leurs vies et de leurs familles. 


Certaines réussissent leurs chances (épouses ou femme de ménages etc..) ou d'autres deviennent des prostituées et filles de bars mais peu de filles djiboutiennes font des concurrences contre ces étrangères et deviennent des prostituées ou filles de bars malgré les préjugés des amies et familles qui les haïssent et deviennent indépendantes et parfois réussissent leurs vies avec des expatriés étrangers civils ou militaires  qui les rejettent plus tard a cause de son comportement  djiboutien ou la femme est la reine par la suite elles retrouvent  dans la rue à faire le racolage sous les influences de KHATS  ALCOOLISME DROGUÉ SHISHA etc… puis sans abris et sans ressources financières ou deviennent une femme de ménage pour les aristocrates 




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