l'artisanat à Djibouti


KADRA MAHAMOUD HAID,

 Depuis la création de l’UNFD (Union Nationale des Femmes de Djibouti) en 1978, avec le soutien de la 1ère Dame de RÉPUBLIQUE KADRA MAHAMOUD HAID, l’artisanat Djibouti, cette industrie peu connue, se développe constamment aux prix des touristes étrangers qui les admirent, les achètent quelques nationaux aussi  qui sont méconnaissants de cet art qui est  indispensable pour la Culture et tradition

Cet artisanat  unique en son genre est produit d'une façon  remarquable des hommes et femmes avec des produits locaux. Il inspire tous ces chefs d’œuvres de bons marchés et peu coûteux la grandeur de savoir faire et développer  le milieu  culturel et traditionnel du pays aux touristes qui les  aiment profondément et professionnels aussi mais nos nationaux qui connaissent peu et les sous estiment parfois


D’autre part, le Chef de l'État de Djibouti  et la Première  Dame du pays soutiennent  favorablement  et financièrement  des producteurs locaux et ils lancent des concours de prix aux 'Meilleurs  Créateurs "chaque année  de 1000000fdj à  100000fdj  gravé à l'office de Tourisme de Artisanal et parrainée  par le Ministère de la Culture a des expositions  à ciel ouvert


prix aux 'Meilleurs  Créateurs

Cette industrie se développe  constamment à bon marché lors des expositions  culturelles et artisanales organisées par son Département dans la journée dédiée à cet effet. Beaucoup d'admiration et sympathique des visiteurs ou investisseurs envoient aux participants et fabricants dont les achats restent faibles et peu de marchandises sont vendues.


Pour que cette industrie résiste et persiste  longtemps il faut apprendre et promouvoir cet art à nos enfants  afin qui prennent  la relève  et donner un élan ce faire savoir dans le monde entier aux milieux commerciaux et  internationaux dans le secteur virtuel. Notre identité géographique et culturelle  repose sur ce art dont il est en  voie de disparition et délaissé par nos aînées, les jeunes sont des non apprentis  et qui cherchent des cultures extérieures


Pour rendre plus attractif cet art , il faut de  le rendre plus exploitable et  culturel et rendre au formel dans  sa commercialisation et créer un organisme qui suit leurs productivités  dans des centres agréés à leurs égards pour sortir de l'ombre et de l'inconnue dont la plupart sont fabriqués par des femmes dans le milieu rural


Et apprendre  a nos enfants cet art dans nos écoles et universités afin qu'il résiste et persiste dans nos pensées et faire évoluer notre richissime patrimoine culturel et rendre plus universel dans le monde qui nous entoure et de  concurrencer les divers arts mondains et  antiques et contemporains


C'est après les femmes dans le milieu rural ( afar, issas somalien ou yéménite ) qui produisent cet art à  la main avec des pailles multicolores pour tricoter en faisant des nattes etc... sans aide de quelconque avec leur savoir faire extraordinaire.

sabres traditionnels a Djibouti

Ce splendide art qui est un marque de reconnaissance à Djibouti et y compris les hommes de brousse qui y fabriquent des sandales traditionnels et sabres aussi  haute gamme et lances pour des dangers éventuels pour leurs troupeaux contre les carnassiers  et prédateurs félins qui rôdent. Ils utilisent en cas contre leurs propres défenses aux voleurs de bétails et combats contre ennemis étrangers au cours de pâturages



Les hommes de la Somalie produisent des vases à partir de la poteries ou des cuissons en fer à partir des ferrailles ou il met des braises en laissant au vent qui souffle pour cuir des plats tels que des soupes, casseroles cueilleres etc.... ils se vendent à des prix de 700fd selon des  volumes dans les marchés locaux


Ces derniers n"ont suivi aucune formation  et apprentissages de part et d'autres de l'État ou institution et que seuls leurs parents broussards  les ont appris après héritage culturelle dans leur vie rurale  ils ont utilisé  leurs  savoir faire en créant des divers d'objets d'arts fascinante et attirants avec le peu dont ils disposent


Ces objets sont vendus aux caisses du quartier commerçant où les touristes viennent admirer ou acheter  parfois aux prix forts  de 1000fd a 50.000fd selon les objets  pour souvenirs et décoration cet art universel non répandu mondialement à Djibouti et sont achetés par les aristocrates et expatries, bourgeois et diasporas djiboutiens au prix faible et moyens


Dans ces arts une institution  a été créée à cet égard nommé" Institut Djiboutien des Arts "  IDA ( musique  ̀. arts plastiques, culturel contemporains, artisanal etc...) par le Gouvernement et son Président sous l’égide du Ministère de la Culture en 2015  pour promouvoir cette identité dans le monde contemporain et qui recrute et forment au bout 2 ans  des jeunes sans emplois qui se lancent dans la vie active après des années scolaires ratées telles que les arts plastiques sculptures  artisanaux etc…


Institut Djiboutien des Arts "

Pour les arts de sculptures également  peu connu par les djiboutiens qui ne vendent pas de le faire par tradition culture et religion qui les opposent ou par manque de moyens adéquats et de formation. Et les matériaux  sont difficiles de trouver ou acheter dans dans ce milieu inconnu par les jeunes. Les commerçants  djiboutiens  achètent au Kenya et Sénégal  ces œuvres d'arts et qui soutirent des profits aux expatriés. Des sculpteurs djiboutiens  sont rarement recensés et qui y produisent peu


Ceux qui passionnent le plus  aux jeunes djiboutiens , c'est la musique et la danse moderne  d'où une importante  participation de la jeunesse qui suivit par les musiques et écoutent cette dernière dans le monde occidental et americain aux "Hi pop et Rap" dont ils ont propulses dans les réseaux sociaux téléphoniques cellulaires  . Ces djiboutiens et autres imitent ces derniers  leurs  albums


Pour les arts plastiques et peintures  contemporains peu de djiboutiens y connaissent et qu'ils sont négligés la plupart à cause de tradition et de religions qui interdisent toutes figurines humaines . Ce plus ils ne sont pas formés dans les écoles cet art recherché par le monde occidental tel que Léonard de Vinci etc...  qui se vend aux prix chers.


L'art contemporain n'est pas enseigné  a Djibouti dans les milieux scolaires et qui ne le rapporte rien financièrement et peu connu aussi. Le Ministère de la Culture pousse tant bien que mal les jeunes à cultiver sur cet art qui a des difficultés à financiers et productives d'ou les moyens de faire en manquent beaucoup financièrement et de motivation 


Certains préjugent de ces artisans de suivre  le monde occidental et qui ne sont pas réalisables en Afrique orientale islamique qui le méprise . Mais les somaliens ou éthiopiens sont les maîtres de l''art  de peinture qui produisent des tableaux valeurs retraçant le nomadisme  en brousse et peu vendus dans le milieu djiboutien

Rifki Abdoulkader


Seul des artisans tels que Rifki Abdoulkader et autres  erc... y persistent, soignent en reproduisant  des chefs d’œuvres uniques après des expositions culturelles lors des rencontres et sont exposées les tableaux chaque année dans des différents lieux déterminés  et qui valent à des prix très chers où la bourgeoisie djiboutienne  et expatriés  les achètent



L'industrie artisanale est le dernier par rapport aux autres industries  existantes  à Djibouti . Elle se développe petit à petit dans ce monde djiboutien informel et méconnu par la jeunesse et les autres  qui est en voie disparition. Elle reste quasi inexistante dans le marché Djiboutien et qui est souvent négligé  par la jeunesse et leurs aînés  qui ne donnent aucune leçon et amplifient leurs chefs d'arts occidentaux et américaines.


Le Ministre de la Culture agit tant bien que mal pour des images positives  ces arts  djiboutiens en disparitions où il a créé un Institut Djiboutien des Arts "  IDA ( musique  ̀. arts plastiques, culturel contemporains, artisanal  etc...) par le Gouvernement et son Président sous l'égide du Ministère de la Culture en collaboration des ministre de commerce  et de l éducation nationale  et de' emploi en 2015  pour promouvoir cette identité dans le monde contemporain et qui est  moins vendu et soulève  mondialement


L'art musical et théâtral qui rapportaient plus de profits au ministère et de artistes de 1980 a 2020 pendant les fêtes (de fin d'année et religieuses  et indépendance etc...)  sont voie de disparition suite de COVID 19 et des artistes chanteurs musiciens et les spectacles. Donc la jeunesse se tournent vers les réseaux sociaux  et médiatiques  en écoutant les musiques "hit Pop ou reggea etc..." des pays étrangers sur leurs cellulaires par voie WIFI. Ce changement  de culture donne un aspect négatif pour leurs parents et positif pour la modernisation


Beaucoup des artistes compositeurs et chanteurs à ont quitté ce monde dans laisser des traces aux générations futures en le formant et les instruisant aussi sur les chansons nationales  et variétés aussi. le théâtre de Salines où des scènes se produisaient est en état de destruction




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