les traditions a DJIBOUTI

 Depuis l’indépendance  de notre pays en 1977, nos 04 traditions ( Afars, somalis, et arabes Issas  )  sont en voie de disparition  car elles s’écartent de nos habitudes avec les nouvelles cultures américaines, européennes visionnées par nos jeunes générations dont nos aînés y ont délaissés, comment le faire revivre, et apprendre nos futurs enfants cette culture et sa racine

Ces mêmes lois sont applicables aux étrangers européens américains et asiatiques devant les juridictions  judiciaires  pénales et civiles a Djibouti    apres les coutumières traditions si la partie en cause accepté ces principes ci dessous avant d"entamer les juridictions extra judiciaires où il doit payer en somme numéraire en fonction  de l'infraction commise 


 Avant les lois démocratiques rédigées par les colons français après leurs installations à Djibouti  et Obock les lois coutumières ancestrales et traditionnelles parfois islamiques y existaient avant eux et qui en définissaient les démarches à suivre en dédommagement ou compensation sous forme des cheptels ovins caprins etc...à la victime sur les infractions commises par la partie en cause 


Sous les égides des différents sages de chaque clan opposé ou en commun bien qu'ils étaient nomades ou sédentaires et agro-pastorales après plusieurs assises sous un arbre où tous les différents responsables de clans sont présents et qui donnent la sentence sans appel après refus ou non accord d'un arrangement à l'amiable


Dans les affaires discutées sont  viol meurtre vol abus de confiance violence adultère agression extorsions blessures involontaires agression sexuelle outrage acte de torture et barbarie  etc...


A noter que ces peuples étaient des nomades sédentaires et agro- pastorales dans les coins du  pays où chaque clan ou tribu suit sa sa coutume et tradition ayant des liens directs  


La loi est régie sur la loi islamique et coutumière sinon la partie lésée prend sa vengeance sur les auteurs des faits dont leurs grand Sage doit en décider  


Dans chaque tradition afar, somalie et arabe existe des normes prépondérantes  a respecter  où une cohésion sociale y subite entre elles. 


Dans ses traditions millénaires avec ses coutumes telles que le "XERR ISSA ET AFAR qui sont inchangeables depuis des erternites dont les sages et okals ou Sultans y président et différencient les duels de clans et tribaux après des longues parcours des rivaux 


Il existe de 4 conditions dont le Grand Sage du clan  AFAR, ISSA  et SOMALIEN doit proposer à la victime :  l'indemnisation  et le pardon et la loi de talion et le Dou'a ( bénédiction du clan)


Le tout se rapporte dans la religion islamique  selon la charia et y participe indirectement  les politiques  et sociales de ces pays. 


Dans les traditions somaliennes qui sont nombreuses et des différents clancs et tribus telle de Gadabourci, Issak etc.... ont leurs différentes lois coutumières avec des Sages et Sultans de chaque côté. 


Elle regide des codes et articles spécifiques non écrites mais appris par cœur par ces derniers sages ou sultans dont le respect et conformité sont indiscutables. Elle ressemble un peu la mois de XERRE ISSA  


Chaque sultan doit verser un impôt ou quotas à  lui durant son règne et ne peut être  remplace  par  le plus proche de la famille en cas de décès après concertation  des sultans différents au Grand Sultanat AFAR  qui siège en Éthiopie dans la région Samra  


Comme le Xerre Issa chaque tribu est représente un sage ou okal qui connaît ces lois. En cas de non respect de loi définitive, ce prévenu sera maudit puis banni et exclu de la société de tous soutiens financiers et il sera laissé à son sort 


Dans les affaires discutées sont : viol meurtre vol abus de confiance violence adultéré agression etc... Pour  compenser  et indemniser la victime, le prévenu doit  donner sous  forme cheptel ovins bovins caprins  ou chameaux en fonction de la gravité de l'acte commise . 


Dans ce cas, tous les clans ou tribus de la victime y participent  en faisant une aide solidarité  dont toute personne de ce clan doit payer impérativement une somme décidée le Grand Sage du clan dans un délai précis.  Défaut de quoi le clan sera maudit puis banni et exclu de la société.il se peut que la vengeance en fonction de l'acte commis sur la victime et la haine soient faites apres la sentence et le non paiement du prix de sang


Dans ce cas, tous les clans ou tribus de la victime y participent  en faisant une aide solidarité  dont toute personne de ce clan doit payer impérativement une somme décidée le Grand Sage du clan dans un délai précis.  Défaut de quoi le clan sera maudit puis banni et exclu de la société.il se peut que la vengeance en fonction de l'acte commis sur la victime et la haine soient faites âpres la sentence et le non paiement du prix de sang 


Dans la tradition des Issas  seul le XEER ISSA y conclut  définitivement les rivaux sur leurs différents après les assis de sages de 12 clancs composes par ces tribus ( 2 hommes sont  représentés  ) à la suite de consultation du Grand Sage "OGAS MOUSTAPHA sous un arbre nommé  SITTI situé  en Ethiopie ( Sud EST) dans les régions habitantes de personnes ayant  pour langue Somalie


Dans les affaires discutées sont : viol meurtre vol abus de confiance violence adultère agression escroquerie etc... 


. Dans les affaires discutées sont : viol meurtre vol abus de confiance violence adlutere agression etc... La loi des Issas est régie sur la loi islamique et coutumière  sinon la partie lésée prend sa vengeance sur les auteurs des faits dont les souches ont disparu en classe sociales et ethniques. 


Mais quand l'auteur des faits commet des infractions ci dessus de son clan ou sous factions  aucun poursuite n'est  engagée contre lui et reçoit en contrepartie des avertissements et mis en garde devant le responsable du clan car ils paient ensemble les primes (dédommagements collecte de fonds, compensation etc...)de responsabilités sur les clans adverses qui réclament des droits  


Pour  compenser  et indemniser la victime, le prévenu doit  donner sous  forme cheptel ovins bovins caprins  ou chameaux en fonction de la gravité de l'acte commise . 


Dans ce cas, tous les clans ou tribus de la victime y participent  en faisant une aide solidarité  dont toute personne de ce clan doit payer impérativement une somme décidée le Grand Sage du clan dans un délai précis Défaut de quoi le clan sera maudit puis banni et exclu de la société


 Dans caque tribu AFAR il existe des 5  différents  sultants dans chaque région sur les territoires  de Djibouti Éthiopie et Erythrée  mais le grand sultan se trouve en Éthiopie dans la région Samra ( Nord est ) qui préside sur toutes les affaires  devant le Grand Sultan quand des sultans de régions n'y arrivent pas aboutir et décide les ordres du jour de chaque année à  accomplir. 


Dans la tradition Afar  il y existe des lois spécifiques et intégrales et inchangeables depuis des milliers années dont tous les clans composés doivent y respecter scrupuleusement et sans désaccord sinon ce dernier sera puni des amendes sévères. Défaut de quoi le clan sera maudit puis banni et exclu de la société 


La loi coutumière AFAR dont les souches sont disparités en classe sociales et ethniques, est régie sur la loi islamique  sinon la partie lésée prend sa vengeance sur les auteurs des faits après concertations des clans présents  


 Pour  compenser  et indemniser la victime, le prévenu doit  donner sous  forme cheptel ovins bovins caprins  ou chameaux en fonction de la gravité de l'acte commise . 


Dans ce cas, tous les clans ou tribus de la victime y participent  en faisant une aide solidarité  dont toute personne de ce clan doit payer impérativement une somme décidée le Grand Sage du clan dans un délai précise


En somalie (hargeisa borama ou Mogadiscio etc...) souvent lorsqu'il s'agit d'un meutre quelconque , la peine de mort est applicable sur le prévenu demandée  par la partie civile lors des assis de clans et des instances juridiques civiles et pénales elle est exécutée  en plein public où le prévenu est fusillé.  


La loi en Somalie est régie sur la loi islamique sinon la partie lésée prend sa vengeance sur les auteurs des faits  dont les souches sont disparités en classe sociales et ethniques. 


Mais Lorsqu'il s'agit d'un clan différent à ce moment là, ce clan paiera selon les infractions  commises ensemble la sentence faite par le Grand Sage du clan en prix animalier domestique et en ville les prix numéraires  pour la valeur d'un animal domestique après les assis de représentants de clans différents  et l' écoute des 2 parties rivaux pour arrangement à l'amiable si possible qui n'abouti parfois ou jamais  


Contrairement à Djibouti ,le prévenu est puni d'une lourde peine et dédommagement à la famille de la victime suite des juridictions  pénales et civiles. 


A Djibouti, la peine de mort est abrogée  en 1995 suite du Code  pénal adopté par le Parlement  et l'Exécutif conformément aux lois internationaux  en vigueur dans le monde après plainte des 2 rivaux 


Dans les traditions yéménite dont les souches sont disparités en classe sociales et ethniques vivant à Djibouti et naturalisée et naissance, le clan ou tribu doit de soumettre aux ordres du chef du clan qui en décidera les poursuites à suivre contre les auteurs de faits : soit la peine de mort selon la loi islamique à la demande de partie lésée ou par dédommagements pécuniaires après des juridictions pénales et civiles non résolues


Mais elle est non applicable à Djibouti pour la peine de mort qui est remplacée à peine perpétuité.


 La loi en Yémen est régie sur la loi islamique sinon la partie lésée prend sa vengeance sur les auteurs des fait. 


Dans la tradition Éthiopienne dont  plusieurs tribus ethnies (Oroms Amharra TIGREE Batthee etc…) et souches sont disparités en classe sociales et ethniques vivant à Djibouti et naturalisée et naissance,  les 2 parties en cause ne se partagent point sur les dédommagements et compensations et partent souvent régler leurs différends  en Éthiopie  devant leurs sages respectifs après juridiction pénale et civile djiboutienne. 


Souvent la vengeance est appliquée par la partie lésée  en dehors de Djibouti ou ils échappent à toutes poursuites  judiciaires et pénales


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